Le parlementaire fédéral réfute catégoriquement les accusations qui seraient « diffamatoires » et « totalement improbables » étant entendu le dispositif mis en place en vue d’assurer son approvisionnement constant en boissons alcooliques.
Choqués par son allocution de la semaine passée au Parlement fédéral, des élus de la droite ont demandé une enquête portant sur la personne de Daniel Brélaz. Motif : celui-ci aurait vraisemblablement abusé de la carafe d’eau mise à sa disposition lors de la séance. Il l’aurait, selon certains témoins, caressée à plusieurs reprises, répétant le mouvement de manière tantôt sensuelle, tantôt plus agressive, éclusant tantôt un verre d’eau de manière délicate, tantôt de façon déterminée comme s’il souffrait d’un certain manque. D’aucuns témoignent par ailleurs de « tremblements » aperçus chez le Vert…
« Mettons qu’une bouteille d’eau arrive jusqu’à ses mains, ça signifie quoi ? Ça signifie que ses assistants parlementaires n’ont pas réussi à l’intercepter avant qu’elle n’arrive jusqu’à lui… Or, c’est impossible… »
L’Equipe de Daniel Brélaz
Si certains sont dans l’incompréhension la plus totale vis-à-vis de cette attitude, d’autres ne sont pas choqués : « Depuis la rentrée scolaire… Euh parlementaire, Daniel me paraît changé. Comme en 2013 où il avait perdu 41 kilos, il me semble aujourd’hui qu’il a perdu une partie de son âme… Pourquoi a-t-il arrêté de boire ? Je ne me l’explique pas… C’est désolant comme les gens changent d’une année à l’autre ».
Son équipe, quant à elle, nie la totalité des accusations portées à son encontre. Michèle, des relations médias, nous explique : « Mettons qu’une bouteille d’eau arrive jusqu’à ses mains, ça signifie quoi ? Ça signifie que ses assistants parlementaires n’ont pas réussi à l’intercepter avant qu’elle n’arrive jusqu’à lui… Or, c’est impossible car ces derniers sont payés exclusivement à assurer un approvisionnement continu de Daniel Brélaz en verres de vin blanc ! De deux choses l’une : soit ils font un mauvais travail, soit ils sont totalement incompétents. Dans les deux cas nous aurions été obligés de nous séparer de ces derniers. Or, la directrice RH n’a pas jugé bon de les licencier. Donc vos accusations sont fausses ».
Il est vrai que les accusations paraissent invraisemblables pour qui connait Daniel Brélaz, lequel n’a jamais accepté de quiconque le moindre verre d’eau. En effet, celui dont on raconte qu’il aime se balader seins nus dans les vignes de Guy Parmelin n’est pas en reste lorsqu’il s’agit d’écluser quelques litrons de liquide fermenté. Or, la vidéo de son allocution au Parlement tend à prouver le contraire :
Son ton, ses expressions, ses mimiques et son accent transpirent la mauvaise nouvelle… En espérant que le premier écologiste du Parlement fédéral ne sera pas le dernier lorsqu’il s’agira de déboucher la prochaine bouteille de l’hémicycle.
La Rédaction.
Photo : Par http://www.parlament.ch, Attribution, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=86351445
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