Aux États-Unis, Les gardes suisses appelés en renfort pour sécuriser le décompte des votes

Donald Trump en pleine crise d’ado, un parti républicain en passe de venir vérifier lui-même si les votes ont bien été comptés. Cela nécessitait bien l’intervention de notre garde nationale à nous.

Sept-cent cinquante francs suisses. C’est le prix que coûte une heure de service d’un troufion de la garde pontificale lorsqu’il doit s’adonner à des sévices privés. Oui car les gardes suisses, c’est comme les cartes Pokémon, on peut se les échanger moyennant quelques Haribo ou en tirant une ou deux pipes à des cardinaux complaisants. 

Après que les républicains et leur masse électorale au QI inférieur à celui d’un pangolin chinois ont menacé d’intervenir personnellement pour « régler le problème des bulletins illégaux ». Après que Donald Trump a essayé de forcer l’entrée d’un bureau de comptage, les autorités ont décidé de faire appel aux fantassins du Seigneur pour défendre corps et âme la démocratie américaine. 

En effet, ceux-ci jouissent d’une certaine réputation d’intégrité. En 1792, ils avaient préféré la garde d’un palais vide à leurs vies dépourvues de sens. Résultat : un massacre en bonne et due forme pour protéger une fontaine et quelques draps d’Orient aux senteurs de printemps. 

C’est donc parfaitement taillé pour la besogne qu’ils ont été mandatés par l’administration américaine afin d’empêcher toute personne qui ne serait pas l’avocat de l’un ou l’autre des candidats d’entrer dans les bureaux d’Arizona. Ils pourront ainsi distiller des « stop » à tire-larigot comme ils aiment le faire près des bâtiments du Vatican. Mais, et cela n’a pas de prix, ils auront également l’occasion de s’ennuyer en regardant d’autres horizons que celui de culs-terreux de la Marne parvenus à des postes à responsabilité où il n’est plus illégal d’attoucher des enfants.

Aux États-Unis, ils auront ainsi l’occasion d’apercevoir des rednecks en chair et en os mais surtout d’observer que la taille d’un soda du McDo’ n’a de limite que la soif de l’américain obèse qui le tien. Tout comme la connerie, d’ailleurs, ou la condescendance de cette pige pour laquelle notre stagiaire ne sera même pas rémunéré.  

La Rédaction.