Emmanuel Macron a proposé tout à l’heure une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine à Genève. Objectif principal : parvenir à s’entendre sur les conditions du retrait des territoires ukrainiens occupés par les Russes. Quête secondaire : passer chez Rothschild pour y déposer une mallette de billets.
Qui a dit qu’on ne pouvait pas allier l’utile à l’agréable ? Certainement pas Emmanuel Macron, lequel a proposé tout à l’heure d’encadrer à Genève – avec son homologue britannique Keir Starmer – des négociations entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine visant au retrait des troupes russes des territoires ukrainiens envahis en février 2022. Loin d’être folle, la guêpe Macron souhaite cependant profiter de l’occasion pour déposer discrètement une mallette de petites coupures chez son ancien employeur, la banque Rothschild, a appris la Rédaction de la Biturne de Genève de la part d’un informateur qui, s’il n’est pas anonyme, est aussi connu que le loup blanc et n’a donc pas besoin d’être cité dans le présent articulet. Selon cette source à peu près aussi fiable que Donald Trump quand il jura devant Dieu qu’il n’introduirait pas un énième droit de douane, le montant du dépôt avoisinerait le milliard d’euro ; montant bien sûr soustrait d’une manière où d’une autre au contribuable français, à qui Emmanuel Macron devrait rappeler prochainement de se serrer la ceinture, car « les temps sont durs et il faut rester compétitif ! »
Pour l’heure, aucune date n’a été agendée mais il faut savoir qu’Emmanuel Macron n’aimerait pas se retrouver trop longtemps avec de l’argent sale à l’Elysée. En effet, on ne sait jamais : dès fois où les Français se rendraient compte que, entre les privilèges d’autrefois et d’aujourd’hui, il n’y a qu’un pas. Et qu’il ne tient qu’à eux de monter à Paris pour les abolir à nouveau.
La Rédaction.
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