Son entourage lui aurait pourtant conseillé de se remettre en question. Ce dernier a botté en touche et s’est resservi un verre de schnaps.
C’est donc un Yannick Buttet fort, viril, mais aussi dérapant qu’un circuit mouillé du TCS qui renonce à ses fonctions électorales et à se représenter à la présidence du centre du monde, à savoir le commune de Collombey-Murraz.
Sous l’emprise de l’alcool depuis cette annonce, il affirme ne plus jamais vouloir redescendre dans ce « monde de merde » et préférer faire comme George Abitbol : partir avec classe. Sauf qu’on a découvert également qu’il n’avait « pas plus de classe que de beurre au cul ». Yannick Buttet : La Classe Helvétique.
Cinématographie:
La Rédaction.
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