Genève

Plus un quartier est riche, plus on y trouve de cøns, selon une étude

Un petit pas pour la Science, un grand pas pour l’humanité, qui comprend désormais un peu mieux pourquoi les riches pensent ce qu’ils pensent. 

Le phénomène de la connerie est désormais mieux être compris. En effet, selon une étude de la RTS réalisée en marge d’une première étude qui vient de démontrer que plus un quartier est riche, plus on y trouve d’arbres , une découverte importante vient d’être faite tout soudain par une équipe de chercheurs de l’Université de Genève, qui s’est intéressée au lien entre la richesse et la « connerie », autrement appelée « la profonde débilité ».

Et l’intensité de leur relation serait « incroyable ! », selon le responsable du projet qui, n’en croyant pas ses yeux, a dû reproduire ses calculs plusieurs fois pour être sûr de ce qu’il avançait. « C’est bien simple », ajoute ce dernier, « dans 87% des cas, la richesse prédit le fait qu’un individu soit totalement teubé ou du moins fortement limité dans ses capacités de réflexion ! ». « Aussi », ajoute ce dernier, « 97% des riches font preuve d’une incapacité totale d’esprit critique vis-à-vis des choses simples ! » D’illustrer son propos : « tenez, par exemple, la plupart des gens, même le président américain Joe Biden, c’est dire ! ; la plupart des gens, disais-je, sont d’accord pour dire que la ‘’théorie du ruissellement’’ est un mythe comparable à celui de la Bible ou des Dieux grecs, eh bien figurez-vous qu’à Genève, plus on est riche, plus on a tendance à y croire ! ».

Qu’est-ce que cette fabuleuse découverte va changer dans le quotidien des personnes riches ? « Pas grand-chose ! », répond l’un d’eux. « C’est faux ! Je ne me sens pas plus idiot qu’un autre ! », réagit un autre. « Je n’ose pas y croire ! », remet en question un troisième homme à l’ostensible richesse – costume trois-pièces, cheveux gominés et montre Rolex au poignet – que nous avons croisé près du 13 Boulevard Émile-Jacques-Dalcroze. Pourtant les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait. 

La Rédaction. 

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