« Bientôt les dix-huit trous ! », a plaisanté l’humoriste américain, faisant fi de la délicatesse nécessaire à manier le sujet de l’alopécie naissante de Vladimir Poutine.
Il y a des problèmes bien plus graves que l’alopécie de Jada Pinkett Smith. Ces problèmes se s’intitulent la Troisième Guerre mondiale… Que l’humoriste américain Chris Rock vient tout juste de déclencher en lançant innocemment une mauvaise blague sur l’alopécie naissante du boucher, carreleur-maoïste, couvreur, étancheur, tourneur-fraiseur et meilleur peintre en bâtiment* de Moscou, on ne le présente plus, Vladimir Poutine.
Hier soir, peu après s’être pris une mandale avec rotation du poignet et prise de carres sur ses pommettes, l’humoriste, qui n’avait vraisemblablement toujours pas compris que les règles les plus élémentaires de la bienséance commandent de ne pas attaquer les handicapés, fussent-ils mentaux comme Vladimir, a réitéré non pas son geste, mais ses paroles, en plaisantant sur le locataire éternel du Kremlin. « Bientôt les dix-huit trous ! », a ainsi lancé Chris Rock qui n’a pas tardé, quelques minutes après avoir regagné ses pénates, à être réduit en bouillabaisse par un missile hypersonique tiré depuis une base militaire à Novossibirsk, en Sibérie.
Malgré la discrétion du missile, que les rumeurs dépeignent volontiers comme moins bruyant que le pet coulant d’un Jurassien après une cuite à la damassine, celui-ci a été détecté par un voisin vigilant, membre du neighborhood watch du quartier de Los Angeles où réside Chris Rock, lequel a alerté l’armée américaine qu’une explosion digne des meilleurs films d’Hollywood venait de se produire chez l’humoriste. Vladimir ayant éhontément violé l’espace aérien des États-Unis, il allait donc de soi qu’un conflit mondial devait être déclenché. Pet à notre âme à tous.
La Rédaction.
*Selon les dires de Joe Biden.
Illustration : Kremlin.ru, CC BY 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=115643698
