Suisse

Berne libère sa fosse aux ours sur les activistes qui bloquaient l’autoroute

Hier matin, quelques activistes ont bloqué temporairement la sortie d’autoroute Bern-Wankdorf. Mais alors vraiment pas très longtemps…

« Quand on veut, on peut relâcher quatre ours sur des activistes qui empêchent les honnêtes gens levés depuis six heures du matin de se rendre à leurs (bull)shit jobs ! ». Non, cette saillie n’est pas celle de Simonetta Sommaruga – qui, pour rappel, s’était arrêtée aux cinq premiers mots de la même phrase avant d’y mettre un point final – mais ceux du chef de la police bernoise, au téléphone avec son conseiller d’État Philippe Müller – un FDP – en charge de la sécurité. 

Hier matin, en effet, à l’heure où Mark Muller met des coups de poings à la Will Smith dans la face des barmans, des activistes islamo-mélenchonistes ont bloqué une sortie d’autoroute, à la hauteur de Bern-Wank(er)dorf. Comme toujours, ils ont demandé plus de justice sociale, etc. etc. ; déclaration qui a attiré le Genevois Pierre Maudet, lequel, au volant de sa 206 tunning, a parcouru les 170 kilomètres qui le séparaient des activistes en moins de temps qu’il n’en faut pour ouvrir une permanence-conseil, cependant en vain, puisque les djihactivistes avaient déjà été éjectés de l’endroit… Non pas à coup de bottes de sécurité, mais pourchassés par les quatre ours de la fosse éponyme située à Berne – Björk, Finn, Ursina et Berna. 

 « C’est le protocole », déclarait sereinement le porte-parole du canton quelques minutes après la dispersion des activistes, apeurés, dans les forêts et bois alentours. « Lorsque l’épouse de l’ex-président Dimitri Medvedev nous fait cadeau de deux ours, nous lui déroulons le tapis rouge. Lorsque des militants·es écolo-wokistes s’en prennent à nos institutions, nous leur envoyons les ours », détaillait ensuite ce dernier. 

Une tradition qui remonte au XVIe siècle, lorsque les premiers gauchistes sont apparus et ont commencé à fourrer leur nez dans les affaires des gentils bourgeois bernois. « Les gauchistes étaient alors pourchassés par les ours qui circulaient en liberté dans le canton », précise Hans Peterli, historien. « Si nous les dressions ? Oh non, pas besoin ! Ceux-ci repèrent un gauchiste à des kilomètres, grâce à son odeur de dreadlocks desséchées au soleil ! Or, comme c’est à peu près la même que celle des rats crevés dont ils sont friands, ils les pourchassent, voilà tout ! »

Dans son livre Pourquoi c’était mieux avant que naisse la gauche, Hans Peterli dresse le portrait d’une période faste où la cité bernoise, dans son immense majorité, vivait en symbiose et prospérait aux côtés des ours. « Souvent, ils nous laissaient les babos intacts ! », précise l’historien. « Nous pouvions alors les dépecer et vendre ce qu’il y avait à vendre : peau, reins, foie, poumons, presque tout y passait ! Mais il fallait être vigilant ! Ne pas faire trop de promesses. Plus d’un commerçant est tombé dans la faillite en acceptant des commandes d’organes qui n’ont jamais pu être honorées, faute de productivité chez les ours, ou par pénurie de gauchistes ! ». Comme on dit : ne jamais vendre la peau de l’activiste avant de l’avoir tué.

La Rédaction.

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