Sous stupéfiant depuis le début de son mandat afin de calmer son arthrite et toutes les autres douleurs qu’il a chevillées à son corps débile, Joe Biden a annoncé effacer l’intégralité des condamnations fédérales pour possession de marijuana. Il invite les gouverneurs à « s’en rouler une petite » et à faire de même.
Finalement c’est non pas Barack Obama mais bien le bon vieux Joe (Biden) qui marquera le début du XXIe siècle de son empreinte de président étasunien ; et pas pour une moindre raison. Défoncé, celui-ci vient en effet d’accorder la grâce présidentielle à l’intégralité des détenus condamnés ou incarcérés pour possession de marijuana.
6’500 criminels endurcis par les 237 ans – en moyenne – de prison auxquels on les avait astreints pour avoir été pris en flagrant délit de possession de cannabis ont ainsi été directement remis en liberté. 6’499 d’entre eux devraient cependant retourner en cellule dans moins d’une semaine après qu’ils ont volé ou commis un crime dont on n’aurait absolument pas soupçonné qu’ils fussent capables de le commettre en raison du succès inégalé des politiques américaines de réinsertion des détenus.
Donald Trump avoue qu’il était défoncé tout le long de son mandat
Sur son réseau social – NDLR : Truth Social – où il est le seul à parler avec des bots créés par lui-même, Donald Trump a lui aussi avoué avoir passé l’intégralité de son mandat sous l’emprise de cannabis. Contrairement à son successeur, Donald Trump n’aurait cependant que eu des idées de merde. C’est con.
Bien que puissent se réjouir les anciens détenus, l’idée du vieux Joe n’est néanmoins pas sans déplaire et notamment au gouverneur Paul LePage (Maine) lequel, non content de n’avoir jamais démordu de son élucubration selon laquelle il faudrait guillotiner les dealers pour prévenir les overdoses, a vertement critiqué la décision de son président en affirmant qu’elle allait causer une déplorable recrudescence d’accidents d’éléphants roses…
La Rédaction.
Crédit photo : “Joe Biden” by Gage Skidmore is licensed under CC BY-SA 2.0.
