Nouveau paquet de sanctions à l’encontre du locataire du Kremlin. Vladimir Poutine vient d’être exclu du club des aînés dont il fait partie. L’aréopage d’anciens, présidé par Joe Biden, a souhaité s’aligner sur les mesures occidentales prises contre la Russie en s’attaquant directement à son président.
Le temps ne fait rien à l’affaire. Quand on est vieux et sans doute autre chose, on est vieux et sans aucun doute autre chose ! Mais la vieillesse n’est pas simplement le long chemin vers la sénilité et la folie qu’on imagine bien souvent. C’est aussi de nouvelles opportunités de socialisation et, bien souvent, de la joie. La joie de ses proches lorsqu’ils nous voient quitter ce monde et qu’ils peuvent enfin cesser avec l’obséquiosité dont ils font preuve pour qu’on ne les raye pas de l’héritage ; la joie d’habiter une toute nouvelle demeure : la maison de retraite ; enfin, c’est la joie de rejoindre un nombre incalculable de clubs destinés à nous faire oublier le peu de temps qu’il nous reste à souffrir les réguliers dérapages de Marco Chiesa dans des quotidiens nationaux.
Ni les « faibles », ni « les puissants » n’échappent ainsi à aux déterminismes de la vieillesse. Même le dangereux Vladimir Poutine, qui se sentait seul après avoir fait fait assassiner son chien… Qu’il accusait de faire pipi sur le paillasson du Kremlin – alors qu’en réalité, il s’agissait de l’œuvre d’un général incontinent et un peu facétieux –, avait rejoint, en 2007, le club des aînés créé par Joe Robinette Biden, l’actuel président des États-Unis d’Amérique. Or, cette association de vieux grabataires proches du pouvoir vient tout juste de l’exclure…
C’est le président américain qui a déclenché la procédure d’exclusion. « Nous souhaitions appuyer là où ça fait mal ! », précise-t-il. « Or, Vladimir adore jouer au bridge et au Rummikub avec les autres membres, notamment avec Angela Merkel, qui vient de nous rejoindre, ou Donald Trump, qui est un fieffé tricheur mais qui à cela d’intéressant qu’il met l’ambiance en se foutant régulièrement à poil pour réaliser des zizicopter avec son vit », ajoute-t-il.
Concrètement, le regroupement d’aînés s’est réuni hier soir, via l’application Zoom, où Joe Biden a dû prononcer deux fois le même discours car il avait oublié d’activer son micro. Après plusieurs heures à peser le pour et le contre, l’assemblée s’est prononcée à l’unanimité pour l’éviction du patron du Kremlin. « Je suis personnellement satisfait de cette décision », a commenté Nicolas Sarkozy. « S’il fallait prendre des sanctions à mon égard, il aurait fallu me frapper au porte-monnaie ou faire en sorte de déprécier l’action Kärcher ! », plaisante-t-il. « Mais Poutine, lui, c’est d’amis dont il a besoin, et nous étions les seuls qu’il avait… », conclut l’ancien locataire de l’Élysée.
La Rédaction.
