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Sous pression, Philippe Poutou craque et déclare qu’il s’est autorisé une boîte de rillettes « gourmet » en 2006

Acculé après que de nombreuses personnes très savantes ont déclaré qu’il était anormal de posséder un patrimoine de 122’000 euros dont 70’000 d’indemnités de licenciement et une Peugeot 308 SW Allure, le candidat NPA à la présidentielle française craque et fait de nouvelles révélations explosives sur sa fortune. Une exclusivité Biturne de Genève, un journal libre, résistant et financé uniquement, en toute transparence, par le Kremlin. 

Au NPA comme dans les logements sociaux occupés par les pauvres et les indigents – autres synonymes des gens de gauche radicale – c’est la stupéfaction : « Comment Philippe a-t-il pu nous faire ça ?! », répètent les uns à la façon d’un disque rayé. « Comment a-t-il pu trahir sa classe ? », se fendent les autres. 

Philippe Poutou vient en effet d’être épinglé par de nombreux quotidiens d’investigation – parmi lesquels Gala ou encore Closer – pour son considérable patrimoine d’une valeur de 122’000 euros, alors qu’il n’a jamais caché sa aversion – que l’on sait désormais fausse – pour la propriété privée. Aurait-il depuis tout ce temps joué un double jeu ? C’est le très sérieux Valeurs Actuelles, réputé pour son impartialité et sa neutralité qui s’est exprimé le premier sur le sujet. « Quand on est de gauche, on est pauvre », pouvait-on ainsi lire sur la couverture de l’hebdomadaire. « Or », fustige le quotidien, « le candidat NPA à la présidentielle se trouve largement au-dessus du seuil de pauvreté ! » De conclure que Philippe est en réalité une personnalité de droite, à l’instar de Manuel Valls, d’Anne Hidalgo ou de Jérôme Cahuzac et qu’il doit sans doute posséder des comptes offshore en Suisse, ce que notre Rédaction peut confirmer puisqu’elle l’a aidé dans ses démarches au Crédit Suisse de Genève. 

Dos au mur ; attaqué de toutes parts, Philippe Poutou a décidé de « tout dire » dans les colonnes de notre canard déchainé. Voici, en exclusivité, ses révélations : « Un jour, je me suis dit que j’allais me faire un petit plaisir. J’ai pris ma 308 SW Allure et je me suis rendu au Leclerc le plus proche. Là-bas, je me suis dirigé vers le rayon des conserves et j’ai craqué… J’ai acheté une boîte de rillettes du Mans pur porc… Je sais, je sais, je n’aurais pas dû. J’ai brisé le lien qui m’unissait à ma classe… Mais j’en rêvais depuis tant d’années ! » 110 grammes de pur plaisir coupable qui ont, en l’espace d’un seul instant, annihilé plus de deux siècles de théories de la domination et de l’exploitation. C’est dommage. 

La Rédaction. 

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