Après Pfizer-BioNtech, c’est le groupe pharmaceutique Moderna qui est autorisé à commercer ses puces radiotéléphoniques. Leurs concurrents se targuent néanmoins d’une meilleure couverture réseau.
Cinq-cents. C’est la différence, en valeur absolue, du nombre d’antennes 5G dont disposent les groupes pharma-bio-technologiques Pfizer-BioNTech et Moderna. Si l’un comme l’autre se prévalent d’une couverture réseau fiable à nonante-cinq pourcent. Le premier se targue néanmoins d’une rapidité plus grande en raison de ses investissements en points relais. Notre équipe vous aide à démêler le vrai du faux concernant cette histoire.
Les puces 5G, pour commencer, sont une nanotechnologie tenue secrète par la NASA, le Pentagone et le Nouvel Ordre Mondial. Microscopiques et facilement implantables sous la peau, notamment – coïncidence, sans doute – lors des vaccins destinés à combattre la pandémie, elles ne seraient perceptibles qu’au moyen de la loupe binoculaire de Benjamin Franklin ou du monocle que Pierre Maudet conserve précieusement dans la poche révolver de son costume trois-pièces en souvenir du temps béni de la Monarchie ; période où il aurait sans doute conservé le pouvoir sans jamais avoir à concourir à aucune réélection.
Viège, ensuite, est une ville qui ne doit pas au hasard sa sélection pour la production de puces 5G. Située sur un étron rocheux au débouché du défilé creusé par la rivière de la Viège, il est de notoriété publique qu’on y coule des jours heureux mais aussi les meilleurs bronzes. Là-bas sont confectionnées également les meilleures nanotechnologies manufacturées AOC du monde. La vision très étroite de ses habitants n’y est sans doute pas étrangère…
Enfin, l’avantage de produire nous-mêmes les puces 5G qui seront implantées sous notre peau est incontestables. En matière de service après-vente, les helvètes sont sans pareil. Des rumeurs selon lesquelles les employés de la hotline Swisscom s’occuperont des éventuelles réclamations sont déjà à l’œuvre sur les réseaux sociaux. De quoi rassurer Hervé, 55 ans, paysans schwytzois qui ne jure que par le symbole de l’arbalète.
La Rédaction.
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