Monde

Covid-19 – la Russie affirme n’avoir testé son vaccin que sur des prisonniers volontaires

Selon le porte-parole du Kremlin, Vladimir Poutine lui-même aurait testé le vaccin russe. L’annonce, décriée par la communauté internationale, aurait eu l’effet d’une bombe dans les oblasts de Novossibirsk, Lipetsk et Nijni Novgorod. Les habitants ont acclamé toute le nuit leur président à vie.

Le Kremlin n’est jamais bien loin lorsqu’il s’agit de devancer les autres nations dans la conquête spatiale, la course à l’armement et, dernier exploit en date, la course au vaccin anti covid. Pour preuve, celui-ci aurait découvert la panacée, le joyaux recherché par tous, le graal, pour ainsi dire. 

La nouvelle, qui a été diffusée simultanément sur toutes les chaines de télévision russes et dans le journal Pravda, souffre néanmoins la contestation internationale. En effet, les principaux chefs d’Etat regroupés sous la bannière de l’OTAN déclarent : “Poutine c’est un peu le Didier Raoult de la communauté internationale, il parle beaucoup mais il pisse pas loin”. D’ajouter : “S’il avait vraiment trouvé quelque chose, il se serrait empressé d’enterrer la découverte. On le connait, il ne fait le fanfaron que lorsqu’il n’a rien !”. 

Notre équipe a pu se rendre à Moscou dans son jet privé financé par la Confédération et les impayés de Pierre Maudet. Elle a pu interroger le petit-fils du célèbre ouvrier Alekseï Stakhanov, Claude, qui porte le nom de famille éponyme. Il serait le directeur de recherche en virologie qui aurait découvert la formule du vaccin. Celui-ci de témoigner : 

 On a bossé comme des chinois (…) fait les trois huit, voire même les six huit. Je ne sais pas comment ce fut possible, mais on l’a fait pour la grandeur de (…) la Russie et de notre Président bien-aimé.

(Claude Stakhanov, petit-fils de l’ouvrier Alekseï Stakhanov )

“On a bossé comme des chinois, si vous me passez l’expression qui n’est pas très glorieuse pour nous, les fiers ouvriers soviétiques, euh, russes ! On a fait les trois huit, voire les six huit. Je ne sais pas comment ce fut possible, mais on l’a fait pour la grandeur de l’URSS, euh, de la Russie et de notre Président bien-aimé”.

Par ailleurs, Claude Stakhanov se veut rassurant pour la communauté internationale : “Nous n’avons obligé que des prisonniers volontaires à participer à l’étude”. Quelle que soit la vérité. La grande Russie sera toujours là pour nous l’apprendre. 

La Rédaction. 


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