Ecolo-wokisme

Crédit Suisse : « Nous n’avons pas blanchi l’argent de la coke puisque nous l’avons sniffée »

Il n’y avait donc pas d’argent. Enfin…

Crédit Suisse passera devant le Tribunal de Bellinzone. Accusée de blanchiment d’argent dans une affaire de cocaïne sombre impliquant un proxénète bulgare qui se fait appeler « Jean-Luc de la Street », la grande banque compte sur ses sous et ses avocats pour laver son honneur et les narines de ses employés avant que ceux-ci ne soient attrapés par les chiens de la brigade humaine antistupéfiants. 

L’affaire aurait eu lieu en 2019 à Zürich, non loin de la Paradeplatz, peu après la fermeture de la banque. Un petit groupe de collègues, lesquels terminaient alors leurs douze heures journalières assis derrière un bureau à faire semblant de manipuler une souris d’ordinateur, souhaitait alors « passer du bon temps, sans se soucier de la femme et des gosses ». C’est pourquoi ils auraient fait appel à Jean-Luc pour « s’occuper de tout ». 

Le porte-parole de la soirée qui a mal tourné de s’exprimer : « On n’était pas au courant qu’on se ferait prendre. Vous savez, ce genre d’histoire arrive tous les jours et… Je ne veux pas vous donner de mauvaises idées, mais si les policiers tournaient un peu plus fréquemment dans les parages plutôt que dans les squares pour chasser les mendiants… Bref, on est désolé de s’être fait prendre ! On recommencera mais plus discrètement ! ». 

La banque, quant à elle, dément complètement les allégations qui sont faites à l’encontre de ses collaborateurs : « Vous croyez qu’on blanchi l’argent de la cocaïne nous ?! Nan mais vous rigolez ! Chaque gramme de coke qui passe par ici, c’est dans l’urine de nos collaborateurs qu’il ressort et pas en argent liquide ! ». 

La Rédaction. 

Leave a Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*