Société

Des scientifiques américains découvrent des vestiges d’intelligence chez les diplômé·e·s de hautes écoles de commerce

Cambridge (Massachusetts) – La probable invasion de l’Ukraine n’est rien à côté de ce qui vient d’être découvert par des scientifiques du Massachusetts Institute of Technology (MIT), en collaboration avec la NASA. Et pour cause, des chercheurs viennent de démontrer, sur la base d’un échantillon représentatif de diplômé·e·s de hautes écoles de commerce – celles de Paris, Saint-Gall, Lausanne, Montréal et Genève, entre autres – la présence d’une « structure vestigiale » à l’intérieur de leur boîte crânienne.  

« Attention ! Cela ne veut pas dire qu’ils ont un cerveau ! », met en garde le directeur de l’étude. « Néanmoins, on sait désormais qu’il se passe quelque chose là-dedans », ajoute ce dernier. À titre de comparaison, les diplômé·e·s HEC auraient ainsi les capacités cognitives d’une goélette blanche ou d’un chat domestique. Leurs ancêtres, en revanche, auraient vraisemblablement un jour possédé un cerveau « il y a de cela quelques centaines, voire quelques milliers d’années », déclare le chercheur.

Au niveau méthodologique, l’étude a notamment consisté à jouer au jeu des « formes et couleurs » dont le principe est de combler des trous avec les formes colorées correspondantes. Ce dernier a notamment permis de mettre en évidence, avec un haut degré de fiabilité, la présence d’impulsions électriques dans la boîte crânienne des personnes diplômées d’écoles de commerce. Le directeur de l’étude de commenter : « dans un premier temps, les résultats n’ont pas été très encourageants. À chaque fois que je leur donnais la consigne de mettre le carré rouge dans le bon trou, ils me répondaient des trucs comme ‘vous avez déjà pensé à acheter de la crypto ?’ ou ‘vous connaissez les NFTs ?’ »

À plusieurs reprise, le directeur de l’étude rappelle qu’il a dû faire intervenir la sécurité. En effet, ne sachant pas quoi répondre, celui-ci éludait la question en se fendant d’un sourire. « C’est à ce moment qu’ils devenaient agressifs ! », témoigne-t-il. 

Ainsi, un·e diplômé·e d’école de commerce met en moyenne, 1452 essais à placer une figure géométrique dans le bon trou. « Ce n’est pas encore tout à fait ça, mais ils ont une marge de progression ! », se félicite le directeur de l’étude, lequel rappelle cependant qu’il n’est pas exclu que leurs succès soient dus au hasard. « Même une horloge cassée indique la bonne heure deux fois par jour », lit-on à la fin du rapport qui a été remis en mains propres aux ministres de l’éducation des principaux pays occidentaux. 

La Rédaction. 

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