L’un d’eux se serait écrié : « Holcim devra payer ! ».
S’il est une analogie qui pèse sur toutes les lèvres du haut comme du bas, c’est bien la comparaison entre la démarche de Donald Trump – qui souhaitait faire payer son mur aux mexicains – et celle des zadistes de la colline libre d’Éclépens. En effet, ceux-ci seraient bien décidés à bâtir un mur entièrement végétal pour se protéger notamment des incursions de Philippe Nantermod, lequel serait actuellement en train de miner les terrains alentours afin d’éradiquer les derniers gauchistes survivants de la surface de la terre.
Concernant le financement participatif du mur dont on dit qu’il serait composé des restes du sempiternel repas des crypto-marxistes – le quinoa – celui-ci sera entièrement financé par Holcim qui souhaite, en collaboration avec une autre multinationale qui n’est autre que Monsanto, introduire des pesticides hautement soporifiques au sein des petites graines. Le but de cette manœuvre, couplée à une stratégie d’affamement des tenants du siège de la colline, est de permettre aux autorités de l’État de Vaud d’intervenir rapidement sans se heurter aux protestations pacifiques « déconcertantes » auxquelles les forces de l’ordre font généralement face lorsque des marxistes décident d’investir des lieux destinés à la construction d’un réseau autoroutier ou d’un centre commercial.
Un policier anonyme de témoigner : « Nan mais vous comprenez nous on n’a pas été formé à mater du gauchiste pacifique. Du coup on sait pas comment réagir et on tire quelques flashballs dans le tas pour voir si ça les énerve. Souvent ça marche pas, mais vous voulez qu’on fasse quoi ? Quand on n’a rien à reprocher à quelqu’un il faut bien inventer des prétextes d’intervention ! ».
Du coup on sait pas comment réagir et on tire quelques flashballs dans le tas pour voir si ça les énerve (…) Quand on n’a rien à reprocher à quelqu’un il faut bien inventer des prétextes d’intervention !
Par solidarité, Migros Genève aurait d’ores et déjà décidé d’envoyer deux tonnes de sachets en papier afin que les zadistes puissent rembourrer leurs doudounes bio-équitables pour faire face à l’hiver.
La Rédaction.
