Dictature de la religion Verte, impitoyable taxe poubelle et délocalisation massive des entreprises : le potentiel destructeur de Fabienne Fischer dépasse, à bien des égards, celui de l’attaque de sauterelles prophétisée dans la sainte Bible.
Comme nous avons eu l’occasion de le démontrer dans ces colonnes récemment et avec un brio qui nous étonne nous-même malgré la haute estime dans laquelle nous nous tenons depuis que nous employons un stagiaire qui écrit pour nous au moins un article par jour, sans nulle autre rémunération qu’une petite tape dans le dos de temps à autre, et encore, sans jamais aller se plaindre au Prud’hommes, nos articles ne sont pas vrais. Pire, ils sont totalement faux et n’effleurent jamais que l’ego des politiciens égocentriques, de bobos en mal d’autocritique ou d’individus persuadés de parvenir à démêler le vrai du faux dans un monde plus complexe que le nombril autour duquel ils aiment à tournoyer.
La tournure que prend les choses, justement, parlons-en. Depuis treize heures moins le quart, comme dirait ma grand-mère, nous sommes au combien fixé et soulagé du sort réservé au sieur Maudet, lequel, malgré son coup de frayeur provoqué au premier tour, n’est finalement pas parvenu à reconquérir le siège qu’il avait quitté quelques semaines plus tôt pour le briguer à nouveau. Jusqu’ici tout va bien.
Mais là où la tournure prend des allures incongrues, c’est avec l’élection de Fabienne Fischer à sa place. Ne vous en rendez-vous donc pas compte ? Une Verte ? Or, le vert c’est quoi. Petit inventaire avant l’apocalypse : le vert, c’est la couleur des légumes et des déchets organiques ; le vert, c’est la tête de votre ex fou de rage quand il a réalisé que vous étiez trop bien pour lui ; le vert, enfin, et non des moindres, c’est la couleur de L’ISLAM !
Ainsi donc la voilà percée à jour la Verte, proche à la fois des bobs écolos qui rêvent de m’empêcher de rouler en Mercedes AMG en ville de Genève, mais aussi des imams de la mosquée du Petit-Saconnex qui ne rêvent que d’une chose : remplacer les Rues Basses par un gigantesque souk où ils pourront écouler leur mauvais cuir et de l’huile d’argan bas de gamme produite par des enfants d’un âge tout aussi bas. Prudence donc, avant de lui accorder le crédit qu’elle ne mérite sans doute qu’auprès d’une institution bancaire.
La Rédaction.
Illustration: “File:La grande mosquée hassan II.jpg” by Errammani abderrazak is licensed under CC BY-SA 4.0
