Genève

Foyer de Mancy – Les enfants ne seront plus trainés dans les excréments, mais seulement dans la boue

Question d’humanité sans doute. 

Nouveau rebondissement dans l’affaire qui agite en ce moment le département de l’instruction publique. En effet, après avoir concédé des « pratiques de socialisation et d’apprentissage de la vie en société un peu abruptes au sein du foyer de Mancy », le DIP a promis qu’il ne trainerait plus les enfants dans des flaques d’excréments, mais seulement dans des mares de boues. 

« Le DIP ne peut pas s’occuper à la fois de faire taire les lanceur·euse·s d’alerte du collège de Saussure et des enfants autistes du foyer de Mancy », rappelle un employé du foyer rattaché au département. « Si vous voulez que ce soit le cas, il faut nous permettre d’engager, car la crise covid, de même que les septicémies attrapées par nos collaborateurs qui manipulent le caca des enfants avant de les jeter dedans, ont considérablement réduit nos effectifs… », ajoute ce dernier qui affirme n’avoir lui-même jamais pratiqué que le lancer de gamins depuis le deuxième étage, ce qui « n’est pas interdit dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, encore moins dans son corollaire celle des droits de l’enfant ! »

Côté alimentation, des morceaux de charbon seront substitués au jeûne intermittent 24/24 qui était la règle. Pour étancher leur soif, les enfants auront désormais le choix entre de l’urine et du placenta de bébé rat de laboratoire ; une largesse permise par l’intervention personnelle de la conseillère d’État en charge du département de l’instruction publique qui, selon les rumeurs, remplira elle-même les poches d’urines destinées au foyer de Mancy.  

Au reste, le recours à la claque, un indémodable pédagogique depuis plusieurs centaines d’années maintenant, ne devrait pas disparaître, car « il s’agit là de l’outil le plus efficace pour leur apprendre la vie ! », témoigne un collaborateur de l’établissement d’enseignement avant de conclure par une déclaration tirée de son expérience personnelle : « Moi mon père il était charron ! Et je peux vous dire que la mère ******* elle mouftait pas ! À la maison ça filait doux hein ! ». 

La Rédaction. 

Leave a Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*