Islamo-gauchisme

Incapables de préparer eux-mêmes leurs cafés, la plupart des patrons refusent toujours le télétravail

Ce matin, c’est l’Université de Zürich qui révèle le phénomène dans la NZZ am Blocher : les grands patrons mais aussi la plupart des petit capi-chefs de PME sont incapables de préparer un bon café. Ils auraient à cet effet besoin de leurs stagiaires malnutris devenus, au fil des années, maîtres dans l’art la préparation de petits noirs. 

Notre équipe a pu rencontrer un stagiaire-barrista qui témoigne sous couvert d’anonymat pour ne pas risquer le licenciement : « L’autre jour mon boss a essayé de recharger l’eau de la machine à café (rires). Il n’a jamais trouvé comment on détachait le conteneur… Du coup, il a embarqué toute la machine aux toilettes et il s’est fait un lumbago. Bilan : trois jours de congé pour moi ». Un autre stagiaire : « Nan mais je n’y ai pas cru mes yeux fatigués par mes heures de sommeil amputées. Le mec (son patron) a essayé de visser le couvercle de la cafetière Bialetti dans le mauvais sens. Résultat, il a bousillé le filetage et j’ai dû courir à la Coop pour lui en acheter une nouvelle. Quel con. En plus, la deuxième fois qu’il a essayé de s’en faire un, il a mis le café moulu au mauvais endroit… Dans le réservoir d’eau. ». 

L’Université de Zurich démontre ainsi que la principale motivation des patrons tyranniques pour ne pas passer au télétravail serait de conserver un taux de caféine à même de contrôler les effets secondaires des grammes de cocaïne réguliers qu’ils s’enfilent par le nez. Les stagiaires étant les seuls capables de terminer la préparation du breuvage, ceux-ci seraient considérés comme des travailleurs indispensables ne pouvant pas travailler depuis la maison. 

Dextérité et hiérarchie ne riment pas toujours ensemble. Pour ainsi dire jamais. 

La Rédaction.

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