Après un premier sketch jugé transphobe, puis une nouvelle polémique sur la qualité de son imitation de l’accent chinois, la comédienne préférée d’Alexis Favre, Claude Inga-Barbey, s’est défendue en estimant être victime d’une incompréhension.
“Quand on m’a engagé au Temps, on ne m’a pas prévenu qu’il fallait avoir des qualités d’écriture pour rédiger des sketchs de qualité”, déplore celle qui est également réputée pour faire un excellent couscous et avoir des amis chinois, ce qui prouve bien qu’elle n’est pas raciste.
Selon nos informations, la rédactrice en chef du Temps aurait effectivement totalement oublié de mentionner l’importance de la dimension humoristique d’un sketch satirique. Or, force est d’admettre que Claude Inga-Barbey ne pouvait pas deviner elle-même cet élément subtil lié à l’évolution de la société et, bien entendu, au déplorable impact de la cancel culture woke islamo-gauchiste sur le milieu de l’humour.
D’autant que, selon le moteur de recherche apolitique « Café du Commerce », le sketch dénoncé n’est “pas vraaaaiment raciste, ça vaaa, on a vu bien pire sur les Chinois depuis le début de la pandémie hein”. En outre, selon un expert indépendant du think tank Twitter de l’Humour Subversif (THS), “ils sont robustes, ces tronches de pamplemousse, ils vont pas se mettre à pleurer pour une petite blague”.
Pour sa part, cette bonne vieille Claude, comme l’appelle sa hiérarchie, a promis de fournir un effort. Elle cherchera désormais à faire relire ses blagues par quelqu’un qui sort de chez lui plus d’une fois par semaine. De promettre également qu’à l’avenir, elle n’habillera plus ses enfants en Chinois pour le carnaval. “C’était une tradition dans ma famille, mais je me rends compte maintenant que c’est de mauvais goût. Et puis, en plus, lorsqu’ils sont habillés comme ça, je n’arrive plus à les distinguer. C’est vrai qu’ils se ressemblent tous ces…” [à ce moment précis, notre Rédaction a décidé de mettre fin à la conversation téléphonique].
La Rédaction.
Illustration: screenshot OSS117, Rio ne répond plus.
