Autrement formulé, le variant lambda ne toucherait que les cyclistes et l’électorat de gauche.
À Genève, les préoccupations sont nombreuses parmi lesquelles la présence de nombreux variants du coronavirus : l’alpha – Pierre Maudet ; le bêta – on ne citera personne mais tout le monde en possède un dans son entourage ; le gamma – au CERN, avec les rayons ; le delta – en provenance d’Angleterre ; l’epsilon – qui distribue les journaux ; le zêta – voir « beta », mais pour un type qui zozote ; l’eta – dont les impôts nous prennent à la gorge, nous les nantis dont la fortune ruisselle sur les nombreux indigents dont on doit souffrir quotidiennement le regard envieux et l’indigence vestimentaire ! Sans oublier, bien sûr, le variant lambda qui, selon des chercheurs de l’Université de Genève, posséderait les mêmes facultés que les fonctionnaires de l’Hôtel des Finances, à savoir un œil fin et malin leur permettant de différencier entre les riches et la lie de l’humanité.
Pour ce qui est des premiers, le variant lambda ne parviendrait pas à les infecter. Ces individus étant si uniques et spéciaux, le virus aurait renoncé à les faire tomber malade étant entendu la complexité de s’adapter à chaque cas particulier. Les seconds, en revanche, seraient les cibles privilégiées du variant lambda. En effet, ces individus aux tendances bolcheviks étant, à très peu de différences près, toutes et tous les mêmes, le variant n’aurait pas beaucoup de recombinaisons à effectuer pour en infecter un grand nombre. Leur nombre, d’ailleurs, constitue un avantage supplémentaire puisque les indigents sont pléthore tandis que ceux qui bossent et qui parviennent à sortir de la masse informe des travailleurs anonymes ne courent – au contraire du travail – pas les rues. Au reste, nous vous laissons avec une chansonnette qui vous évitera peut-être l’infection au variant lambda :
La Rédaction.
