Le nez cassé de Mbappé ne devrait pas lui causer de problème pour continuer à lécher les bottes du président français, selon les experts

Dur dur de renifler le derrière des puissants avec un nez cassé. Pas de panique cependant, car Kylian Mbappé dispose d’une autre alternative parfaitement adaptée pour faire montre de son affection envers celui qui a ruiné sa carrière en l’encourageant à rester au Paris Saint-Germain au lieu de rejoindre le Real Madrid à l’été 2022 : sa langue. 

Kylian Mbappé s’est bel et bien cassé le nez en heurtant l’épaule d’un défenseur lors de le rencontre France-Autriche du premier tour des phases de groupes de l’Euro 2024. Ce que tout le monde avait deviné quelques secondes seulement après le choc en observant le S formé par la cloison nasale du nouvel attaquant du Real Madrid a été confirmé ce matin par le staff médical de la Fédération Française de Football ainsi que par des individus improvisés médecins sur la plateforme X – formely Twitter. Une nouvelle qui, si elle ne remet pas en cause la participation de KM9 à la suite de la compétition européenne, promet toutefois de modifier radicalement sa relation avec Emmanuel Macron dont il affectionne tout particulièrement renifler l’anus. « Za va être tré compligué, mais ze vé trouver une zoluzion », a ainsi déclaré Kylian Mbappé tout à l’heure en conférence de presse. « Zé par exzemple touzours la pozibilité d’utilizer ma langue qui n’a pa zété touzée pendant que z’ézeyait de cazzer l’épaule de Danzot avec ma tête », a par ailleurs confié la star française. 

Même analyse du côté des experts : « Si le bonhomme est aussi créatif pour faire montre de son affection envers celui qui a retardé sinon complètement ruiné sa prometteuse carrière qu’il ne l’est devant le but, il ne fait aucun doute que celui-ci saura trouver la solution pour conserver le cœur d’Emmanuel Macron malgré sa fracture », confesse ainsi l’un d’eux. « Je lui fais totalement confiance pour trouver un moyen de continuer à faire efficacement de la lèche », redouble quant à lui un second analyste. Fayotter, on ne le répétera jamais assez, n’est qu’une question d’envie. 

La Rédaction. 

Crédit photo : Screenshot TF1.