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Monarchie absolue – Juan Carlos, ex-roi d’Espagne, retrouvé dissimulé parmi les épagneuls dans une cage du chenil de Bussigny

La Suisse annonce qu’elle va le « rendre » à l’Espagne pour que celui-ci réponde des accusations de malversations à son encontre. Il voyagera en compagnie des autres animaux dans la soute d’un vol Easyjet.

Jean-Françis ouvrait comme chaque matin les portes du chenil de Bussigny lorsqu’il y fit une découverte pour le moins étonnante. Juan Carlos, le roi d’Espagne qui avait abdiqué en 2014 en faveur de son fils, se dissimulait parmi les épagneuls depuis plus de quelques semaines déjà. 

Dans un premier temps, Jean-Françis avait été alerté par l’amaigrissement des chiens pourtant nourris d’une façon décente au sein du chenil. Maintenant tout s’explique, ajoute-t-il, c’est ce type caché derrière la meute de chien qui bouffait toutes les croquettes ! C’est quand même pas croyable, il a été égoïste toute sa vie et il continue alors même qu’il voit les chiens fondre à vue d’oeil !

Dans un second temps, Jean-Françis s’était posté aux abords du chenil pour prendre en flagrant délit le petit malin qui s’infiltrait la nuit tombée parmi les animaux pour dérober leur nourriture. Il avait malheureusement fait chou blanc…

Or, c’est un bruissement désespéré de l’ex roi d’Espagne qui a trahi ce dernier. En effet, en 2012, celui-ci s’était déboité la hanche alors qu’il participait à une partie de chasse aux côtés de ses frères Botswanais, ceci au plus fort de la crise économique espagnole. 

 Maintenant tout s’explique ! C’est ce type caché derrière la meute de chiens qui bouffait toutes les croquettes ! C’est quand même pas croyable ! Il a été égoïste toute sa vie et il continue alors même qu’il voit les chiens fondre à vue d’oeil !

(Jean-Françis – Vétérinaire du chenil de Bussigny)

Mal remise et fragilisée par des semaines de vie commune à se battre contre les épagneuls pour leur voler leurs croquettes, un faux mouvement lui a laissé échapper un cri qui allait le trahir…

Les choses étant désormais rentrées dans l’ordre, Jean-Françis nous informe que les épagneuls se portent mieux. Quand à Juan Carlos, il croupit dans une des geôles de l’Aéroport international de Genève dans l’attente d’être renvoyé à la maison.

La Rédaction. 


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