Culture

S’il est élu, Éric Zemmour promet la réouverture du « Village de Bamboula » fermé en 1994

« Ce lieu féérique, dans lequel le doux parfum du racialisme épousait parfaitement la beauté de la culture française, figure parmi mes plus beaux souvenirs d’enfance », explique le candidat.

« Un Français sans divertissement est un homme plein de misère », disait Pascal (Praud). Et comme la pauvreté et la misère continuent d’augmenter en France, une seule conclusion s’impose : il faut rétablir les bons vieux divertissements d’antan. 

C’est également la conclusion tirée par le candidat Éric Zemmour en exploitant, vendredi dernier, le plein potentiel de ses capacités cérébrales. En outre il a décidé que, s’il était élu président de la République, il rouvrirait certains des fleurons de la culture française afin de « parfumer l’avenir de la douce fragrance du passé ». Parmi les projets concernés, le fameux zoo humain colonial « Village de Bamboula », qui a résisté bravement, des années durant, avant de fermer en 1994 en raison de la scandaleuse idéologie wokiste de l’époque.

« Les Français sont globalement xénophobes, mais ils ne savent pas vraiment pourquoi. C’est un vrai problème », explique un chargé de campagne qui tient à se faire surnommer Benito. Or, « avec un établissement pareil, ils pourront retrouver goût au racisme à l’ancienne ! ». 

L’équipe du candidat propose évidemment d’en faire une réadaptation moderne, en ajoutant toute une aile « Islam et islamogauchisme ». À cet effet, des annonces ont été placardées dans différentes ZàD de France ainsi que dans certaines facultés de sciences sociales, et des contacts ont déjà été pris avec la justice belge pour le transfert de Salah Abdeslam.

Au nombre de ses grands projets socioculturels, Éric Zemmour prévoit de relancer des leçons obligatoires de broderie pour les femmes, d’organiser une grande exposition à Paris sur la Cochinchine française et d’ouvrir une nouvelle ligne TGV Marseille-Paris-Berlin-Birkenau, « au cas où ». Les billets de train Paris-Vichy, dont la gratuité avait été généralisée à tous les fonctionnaires de l’État entre 1940 et 1945, devraient également faire leur grand retour. De quoi satisfaire tous les nostalgiques du régime éponyme…

La Rédaction.

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