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Frappé par deux catastrophes en deux jours, le Japon passe directement en 2025

Victime de deux catastrophes majeures deux jours seulement après le commencement de l’année 2024, le Japon a décidé de passer directement à 2025. « 2024 s’annonçait déjà une année de merde de toute façon. Il ne valait pas la peine de la continuer », justifie le Premier ministre nippon Fumio Kishida.

« Les années, ce ne sont que des numéros inscrits sur du papier ou sur un écran de toute façon », ont justifié tout à l’heure les autorités japonaises après avoir acté du fait que le pays du soleil levant ne se trouvait désormais plus, comme tout le monde, en 2024 mais en 2025. Frappé par deux catastrophes majeures en l’espace de deux jours seulement, le Japon a en effet décidé de sauter l’année 2024 afin de conjurer le sort qui, visiblement, a choisi de faire de leur pays l’épicentre de toutes les catastrophes naturelles comme humaines qui puissent frapper l’espèce éponyme en l’espace d’une année civile.

« Ce fut une décision difficile à prendre, notamment parce, du coup, tout le monde va automatiquement vieillir d’un an, mais c’était la meilleure chose que nous pouvions faire pour écarter le mauvais œil qui s’abat sur notre île », ont ainsi justifié les autorités japonaises. « En tout cas, c’est ainsi que nous espérons nous arracher à la scoumoune ! », ont-elles également ajouté pour rassurer la population qui, du reste, s’est encore une fois demandé qui étaient les idiots d’hommes préhistoriques qui avaient élu domicile à l’intersection de trois grandes plaques tectoniques pour fonder leur pays.

Apparu tout à l’heure, la mine sereine et décontractée, sur les principales chaînes de télévision nationales, le premier ministre japonais Fumio Kishida s’est pour sa part voulu rassurant : « En 2025, tout ira pour le mieux vous allez voir ! » Pour lui, la décision de sauter l’année 2024 allait ainsi totalement de soi, au regard des évènements. « Au bout de seulement deux jours, 2024 s’annonçait déjà une année de merde de toute façon. Il ne valait donc pas la peine de la continuer », a-t-il ainsi partagé avec son peuple tout en lui conseillant, sait-on jamais, quand même de s’équiper de moustiquaires géantes et d’armes à feu, des fois que le Seigneur, lequel est décidément un gamin, aurait malgré tout décidé d’envoyer des sauterelles ou ces quatre foutus chevaliers de l’Apocalypse pour décimer le pays des chrysanthèmes.

La Rédaction.

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