Vaud

Le Conseil d’État vaudois donne son accord pour accueillir des réfugiés Genevois fuyant l’enfer de l’impôt automobile

Le canton de Vaud pourra accueillir une dizaine de ressortissants Genevois fuyant l’impôt automobile. C’est ce qu’ont convenu vendredi l’ensemble de ses conseillers d’État au sortir d’une réunion d’urgence visant à régulariser les centaines de milliers de personnes fuyant actuellement la cité de Calvin pour se réfugier dans le haut-lieu du papet et de la défaite en hockey sur glace.

« L’État de Vaud ne peux pas accueillir toute la misère du monde, mais il se doit de faire sa part ». C’est en ces mots pleine de sagesse que la Chancellerie d’État du canton de Vaud s’est exprimée vendredi soir afin de clarifier la situation concernant les centaines de milliers – si ce n’est les millions – de Genevois qui ont récemment vu augmenter iniquement leur impôt automobile et qui frappent désormais à la porte de l’État voisin pour échapper à la spoliation.

Durant toute la semaine, les autorités vaudoises ont ainsi dû refouler des milliers de Genevois qui avaient plié bagage pour s’établir à quelques kilomètres de là dans des caravanes en attendant de trouver un logement – de préférence à Nyon, Gland ou Morges car c’est quand même plus pratique pour accéder à l’autoroute ou aux gares quand on bosse dans le canton de Genève. « Nous avons reconduit la plupart d’entre eux de l’autre côté de la Versoix, mais nous avons quand même dû en tazer quelques-uns. Ceux qui commençaient à être violents », explique le caporal-chef Bovey. Trop massif pour les effectifs de police, l’afflux de migrants Genevois n’a cependant pas pu être totalement contenu. Pas grave : « Nous comptons sur la population pour faire comme en 39 et les dénoncer afin de rétablir l’ordre », détaille l’officier de la police cantonale vaudoise.

Dans l’intervalle le Conseil d’État vaudois s’était néanmoins saisi de la question afin de trouver une solution plus éthique. Trente-cinq bouteilles de vin plus tard, il arrivait ainsi au résultat selon lequel une ou deux dizaines de Genevois seraient régularisés tandis que les autres pourraient aller se faire mettre bien profond. Si ce n’est pas beau la solidarité <3.

La Rédaction.

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