Genève

Les TPG suppriment les sièges de leurs véhicules

Quitte à faire des économies de bouts de chandelles, autant virer les chandelles. 

Easyjet n’avait pas osé, les TPG l’ont fait. Dès la troisième vague de la covid – c’est-à-dire aux alentours de mi-janvier, après que vos câlins de la Saint-Sylvestre et de Noël ont eu le temps de répandre à nouveau le virus – les Transports Publics Genevois supprimeront définitivement les sièges de leurs véhicules pour des raisons d’économie. En effet, le coût de la vie ayant augmenté trop fortement, les Genevois n’ont, pour la plupart, plus moyen de s’acheter de la lessive. Ainsi, leurs pantalons sales viendraient entacher les porte-fesses immaculés habillant l’habitacle des charrettes TPG. Par voie de conséquence, leur entretien nécessiterait un surplus de main d’œuvre que les tickets à trois balles n’ont pas les moyens d’offrir à nos culs-terreux. 

Voilà pour l’explication. Mais en réalité – c’est en tout cas les propos tenus par Chloé Frammery et compères – c’est en association avec Bill Gates et ses puces 5G que la régie genevoise aurait décidé de supprimer les sièges dans les bus. Ce faisant, la promiscuité entre les usagers serait accentuée et le virus se répandrait encore plus vite ! Car un véhicule sans sièges c’est aussi un véhicule où l’on s’entasse plus facilement ! Et qui dit contact dit virus, contrôle sur la population et, bien sûr, profit pour les actionnaires du Nouvel Ordre Mondial. Aussi certainement que le fric c’est chic, les TPG sont de mèche avec vous savez qui – nous, personnellement, on ne sait pas.

La Rédaction. 

Illustration: “TPG Transports publics genevois” by Olivier Vietti-Violi is licensed under CC BY-NC-ND 2.0

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