L’ancien padawan de Pierre Maudet signe son grand retour en politique. Objectif : les élections municipales 2025 sous la bannière du mouvement Libertés et Justice sociale. Mais ce n’est pas tout, un accord tacite entre les deux hommes prévoirait que Simon serve à nouveau de petite chose pour le conseiller d’État.
Celui que l’on pensait suivi par l’ensemble des psychologues de la République bananière et canton de Genève ne va finalement pas si mal. En effet, quatre ans après sa prestation de serment durant laquelle il avait juré de servir la démocratie cependant qu’il n’avait plus jamais remis son éminent fessier sur aucun des sièges du conseil municipal de la Ville de Genève, Simon Brandt revient comme une fleur en politique et cela pour servir son maître, le sémillant Pierre Maudet. « Cela s’est fait aussi naturellement qu’on se fait bâillonner, humilier et traiter de petite s*%&pe durant l’amour », explique le candidat malheureux au conseil municipal de la Ville dans une interview accordée à l’un de nos concurrents. « Ah, il y a des gens qui se font respecter quand ils font l’amour !? Je l’ignorais ! », révèle également son échange avec les journalistes du Glick – une sorte de Blick mais en mieux.
Selon toute vraisemblance, Simon Brandt devrait donc à nouveau servir de fusible, de punching-ball et de petite chose à Pierre Maudet – fonction du bon vouloir, des désirs et de l’humeur de ce dernier. « Si j’ai pris pas mal de temps pour me reconstruire, c’était pour être certain de le faire avec des matériaux qui me permettraient d’officier comme un tabouret assez solide pour accueillir les pieds de Pierre quand celui-ci en aura besoin, par exemple après une longue journée à donner des directives au conseil d’administration des HUG », détaille également l’ancien libéral-radical à nos confrères. Mentalement, ce dernier revient du reste « plus fort », affirme-t-il. « Je peux désormais encaisser plus d’insultes et de remarques sur ma prétendue incompétence qu’auparavant ! », met ainsi en avant ce dernier. L’avenir nous dira s’il dit vrai… Dans l’intervalle, la Rédaction de la Biturne de Genève lui souhaite tout le courage nécessaire pour s’acquitter de ses nouvelles tâches auprès de son dominus.
La Rédaction.