Le maintien de la paix est une mission quotidienne, mais uniquement entre 8 et 17h.
De même que, le 11 septembre 2001, la plupart des individus lambda disent se souvenir s’ils étaient en train de commander un McDo ou bien conter fleurette à leur futur épouson.ne, la Suisse se souvient pertinemment de ce jour où elle défraya la chronique lorsqu’un canard déchainé révélé au monde entier que son armée de l’air ne travaillait que huit heures par jour.
Or, la Suisse semble s’accommoder de ce genre de situations, certainement parce qu’elle pense avant tout au bien-être de ses employés et à leur éviter toute situation qui puisse leur susciter le moindre stress. Dès lors, quoi de plus logique que de se conformer à des horaires de bureaux très stricts pour épargner le mental de nos fonctionnaires internationaux dépêchés dans le monde en crise pour effectuer le service après-vente du matériel de guerre que l’on vend moyennant quelques dettes et des intérêts épongés par des prêts auprès du FMI.
La paix : oui, mais pas après dix-sept heures. La Suisse n’intervient qu’aux heures de bureau, parce qu’elle le vaut bien.
La Rédaction.
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