Politique

Bruxelles demande à la Suisse de reconnaître la paternité belge du chocolat

Au sujet de l’accord-cadre entre la Suisse et l’Europe, on savait Guy Parmelin préparé à toutes les éventualités. L’était-il vraiment ? 

On vous la fait courte étant entendu que les détails seront réglés par une horde de gratte-papiers européens et quelques centaines de fonctionnaires fédéraux du DFAE rémunérés à hauteur d’un rein d’Ouïghour par mois. Mais Bruxelles n’a pas été très tendre avec la Suisse lors de la négociation de l’accord-cadre censé régler les rapports entre la Suisse et l’Europe. En effet, le lobby du chocolat belge aurait demandé au négociateur de consacrer la paternité du chocolat en Belgique et non, comme il est d’usage de le faire, en Suisse. 

Sur le moment, Guy Parmelin en serait resté scotché à son fauteuil en rotin. Il se serait ensuite, selon les stagiaires qui l’accompagnaient alors, écrié : « Jamais vous entendez ! Jamais ! » avant de s’effondrer en larmes et de partir en courant comme un enfant à qui l’on aurait dérobé son goûter dans la cour de récré. 

Pour l’heure, étant entendu la nature de cette clause pour le moins surprenante et ajoutée au dernier moment, l’accord est donc un point mort. Ici-bas, on ne plaisante pas avec le chocolat.

La Rédaction. 

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