Face aux blessures à répétition (enfin, blessures… selon nos informations, la plupart des joueurs se chient dessus à l’idée d’aller se reprendre une branlée à Rome, mais notre cellule enquête leur laissera le bénéfice du doute), le sélectionneur de la Nati a dû se résoudre à convoquer d’anciennes gloires, au péril de leur arthrite.
« Pour Gelson, j’ai voulu mettre toutes les chances de notre coté pour marquer un but sur un malentendu contre une équipe beaucoup plus forte que nous », confie Murat Yakin.
Selon les bruits de couloir, le sélectionneur suisse aurait tout d’abord pensé à rappeler Philippe Senderos, dont le nez ensanglanté reste encore dans toutes les mémoires. Mais les cadres de l’équipe l’en auraient dissuadé. « Frère, tu nous as déjà collé Imeri en plus de Zakaria et Mbabu. Deux Genevois dans l’équipe, c’est déjà limite, mais davantage franchement c’est pas possible », lui aurait lancé Shaqiri entre deux implantations capillaires.
Cet élan favorable à la culture genevoise s’est également fait sentir dans une autre polémique. En effet, Murat Yakin aurait cherché dans un premier temps à convoquer son propre frère Hakan pour pallier l’absence de Seferovic. Mais les hautes instances du football suisses ont estimé, sans doute à raison, que ce copinage serait « un peu trop flagrant quand même », selon nos renseignements.
Ces annonces ont aussi pris une tournure politique. Dans un communiqué, le PLR se réjouit de cet exemple donné aux jeunes. « Montrer comme ça que l’on peut retarder l’âge de la retraite de plus de 10 ans, au nom de la patrie, c’est formidable », écrit le parti, qui précise attendre la même chose, désormais, des sportives féminines, « au nom de l’égalité ». Quid du retour de Vreni Schneider à la compétition cet hiver ?
La Rédaction.
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