Après s’être tapé l’intégralité de la discographie de Booba, l’ancien ponte de la RTS va demander à ce que toute évocation de sa personne dans l’article du journal Le Temps soit précédée du sobriquet « Le Duc de la RTS ».
Darius c’est un peu un moteur Diesel, ça peine à démarrer mais une fois lancé on ne l’arrête pas plus qu’un projectile de la grosse Bertha lancé à vive allure contre une ville côtière anglaise. C’est ainsi qu’après plusieurs jours de silence radio, celui-ci se met en marche comme l’infanterie allemande en trente-neuf. Sa cible : le journal le Temps. Ses revendications : le droit à l’anonymat face à la violence d’apparaître en première ligne d’un scandale qui l’a submergé telle la centrale de Fukushima en 2011 alors que ses compères n’ont reçu, pour leur part, que quelques éclaboussures d’un filet d’eau à peine aussi vif que Sylvain Durif.
Ainsi, l’ancien chouchou de la RTS demande à être jugé à la hauteur de son rang et à ce que la dénomination qui lui sert de pseudonyme soit adaptée aux honneurs de la charge qu’il occupait auparavant. C’est pourquoi il ne tolérera désormais plus d’être appelé autrement que par le surnom suivant : « Le Duc de la RTS ».
Un titre monarchique qui reflète à bien des égards la punition qui l’attend et qui n’est pas sans rappeler le sort réservé à ceux qui possédaient les mêmes privilèges deux siècles plus tôt.
La Rédaction.
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