Je n’ai fait que tester les limites du système, s’est défendu l’ancien comptable du Baroque. Si vous n’êtes pas capables de fixer un cadre légal qui tient la route, ce n’est pas ma faute, a-t-il ajouté.
Un spectre hante l’Europe : le spectre du communisme. Régulièrement dénoncé par les premiers de cordée à l’instar de Bernard Arnault, ce wokisme des esprits, qui alimentent nos peurs et pervertit nos enfants ainsi que nos alcooliques respectivement jusque dans leur lit et dans leur lie, trouve le fer de lance de son expression dans la « haine des riches », à savoir un amour tendanciel de la médiocrité incarné par tous les gagne-petit qui jalousent la réussite des personnes qui ont eu la chance d’avoir des parents ou un grand-père assez aisé pour leur léguer un héritage.
Vous savez, en France, dès que quelque chose réussit, il y a des critiques dans tous les sens… La mentalité, vous l’avez vu, depuis quelques années, est un peu anti-entreprise. Et quand, en plus, une entreprise réussit… C’est contraire à la logique ambiante… L’esprit, comment dirais-je, socialo-marxiste qui prédomine.
Bernard Arnault
C’est cette médiocrité ambiante qu’entend dénoncer le comptable du Baroque qui a déclaré, ce matin, devant le tribunal, qu’il se mettait en grève de la faim pour protester contre l’injustice dont il est victime. « Tout cela parce que vous êtes jaloux ! », aurait-il lancé aux juges avant de préciser qu’il renonçait tout de même à abandonner le homard dont il est particulièrement friand depuis que plusieurs millions sont apparus sur son compte en banque sans qu’il ne sache pourquoi. « Sans doute un mécène qui m’apprécie à ma juste valeur », aurait-il répondu aux juges qui le questionnaient à ce sujet.
Si pareil mécène devait avoir encore quelques millions confier, prière de s’adresser à contact@labiturne.ch pour obtenir nos informations bancaires.
La Rédaction.
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