Ça fait extrêmement mal à l’ego, ont exprimé les ultras à l’actuel quarante-cinquième Président de États-Unis d’Amérique.
On s’en souvient comme si c’était hier. Nonante-quatrième minute, Paris est en passe de confirmer la surprise du premier match et bien que de nombreuses erreurs se soient disséminées tout au long du match retour, les parisiens y croient encore. Crochet de Neymar, centre un peu hasardeux dans la surface et Sergi Roberto qui décroche pour offrir la victoire aux barcelonais et la qualification en quart de finale de la Ligue des Champions
Les élections américaines, aujourd’hui, c’est la Ligue des Champions d’hier. Un match aller très prometteur de la part du candidat sortant Donald Trump mais une remontada très certainement en passe d’advenir pour son concurrent le vieillard presque sénile Joe Biden. Notre analyste, en la personne du stagiaire qui ne dort pas depuis les deux jours qu’il attend que ces foutus compteurs de Pennsylvanie terminent leur pause clope, est formel. Celui-ci a par ailleurs contacté les représentants du Paris Saint-Germain pour leur demander leur ressenti quant à la défaite de ce 8 mars 2017. S’ils n’ont pas souhaité commenter, ils mettent cependant le candidat sortant en garde : « On s’est assis sur nos lauriers, on a chambré l’adversaire avec des tweets et on a passé notre temps à courir les jupons au lieu de nous entrainer. Résultat, on l’a pas vu venir et elle est arrivée aussi vite qu’une rafale de M4A1 dans l’œil droit d’un taliban ».
Pour leur part, les ultras parisiens, portés par la voix de Jazzy Bazz, conseillent au Donald de préparer d’ores et déjà une cellule psychologique qui, en 2017, leur fit défaut. « Franchement, à chaque fois que j’entends quelqu’un parler en espagnol je commence à avoir des tremblements », raconte un supporter du PSG.
En espérant que Donald Trump soit aussi magique que Paris.
La Rédaction.
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