Condamnée mais inspirée, Marine Le Pen transforme sa peine de prison en business doré avec Sarkozy et LVMH. Le trio lancera prochainement une collection de bracelets électroniques en or blanc destiné aux délinquants de haut standing.
« Parce que l’élégance n’a pas de casier judiciaire », dit la réclame que la Biturne de Genève a pu visionner en avant-première et au sein de laquelle Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy apparaissent bras dessus bras dessous, copains comme cochons haram et rayonnants comme le soleil un premier jour de printemps. Condamnée hier matin pour détournement de fonds européens, Marine Le Pen écope de prison ferme ainsi que d’une peine d’inéligibilité qui l’oblige à renoncer à la présidence de la République française au profit de son poulain, l’âne Bardella. Pas grave, car cette dernière a tout prévu. Notamment de faire de la grosse mula avec le nouveau pote de Donald Trump : Bernard Arnault. Plus précisément avec sa petite boîte de maroquinerie : Louis Vuitton Moët Hennessy (LVMH), laquelle prévoit de lancer une nouvelle collection de bracelets électroniques ripolinés d’or blanc en collaboration étroite avec Marine Le Pen et – quelle surprise –, celui qui est fourré dans tous les mauvais coups, Nicolas Sarkozy.
C’est il y a quelques semaines que le projet est né. Pressentant en effet sa condamnation, celle-ci aurait contacté son meilleur ennemi pour lui demander comment l’éviter. Sarko’ lui aurait alors répondu qu’elle avait le choix entre la fuite dans un pays exotique et tirer parti de la situation en lançant avec lui une gamme de bracelets électroniques hauts de gamme en or blanc. Marine n’étant pas fan de l’étranger, celle-ci aurait alors opté pour la seconde option. La plus lucrative des deux également, puisque l’exil aurait également signifié une confiscation immédiate de l’intégralité de ses avoirs par l’État français.
D’ores et déjà sur la chaîne de production d’une usine LVMH au Bouthan, les bracelets devraient arriver sur les étals d’ici deux semaines. Prix de lancement : une dizaine de milliers d’euros. Étant entendu les centaines de politiciens français – et pas que – qui ont piqué de l’argent dans les caisses ou détourné des fonds, le marché devrait rapporter des millions… Et Marine pouvoir acheter des milliards de croquettes premium à ses six petits chatons aussi mignons qu’elle fût jadis, c’est-à-dire avant d’être imprégnée des idées rances de son défunt pôpa – autrement dit, entre sa naissance et trois semaines.
La Rédaction.
