Il aurait retiré la balle en serrant les dents et en ayant, au préalable, avalé un flacon d’hydroxychloroquine.
Marseille n’est pas connue pour son calme, encore moins pour être la ville la plus pacifique de France. Hier soir, une énième fusillade dans les quartiers nords a failli avoir des conséquences irrémédiables sur le procès de Didier Raoult. En effet, celui qui se ballade régulièrement dans les cités afin de « s’imprégner de la pauvreté ambiante qui y règne » a été percuté par une balle perdue en pleine tête. Quelques instants après le drame, il s’est exclamé : « Encore heureux que je n’aie pas de cerveau ! Sinon les dommages auraient été irréversibles ! ».
Pour ôter la balle, le praticien aurait demandé aux guetteurs situés à l’entrée de la cité de lui prêter le barillet de l’un de leurs pistolets. Il aurait avalé cul-sec l’entier d’un flacon de chloroquine, enduit sa tête de savon de Marseille et se serait mis au travail. L’opération à été couronnée de succès. Partant, Didier a d’ores et déjà promis d’expliquer aux Français la nécessité de pratiquer des lobotomies à ciel ouvert et sans hygiène des mains ; un procédé qui serait, selon lui, bénéfique pour développer ses défenses immunitaires.
La Rédaction.
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