Genève

Pierre Maudet exige des APG pour chaque jour de séparation avec son bien-aimé département

Une administration gérée d’une main de fer et soumise aux mêmes conditions de pertes de revenu que nos miliciens... Mais aussi à la cour martiale.

D’aucuns l’accusent d’une « gestion militaire » (voire « policière ») de son département, le DG-DERRI(CK). D’autres se plaignent de ce qu’il ne leur était jamais laissé de répit, pas même dans les toilettes, pas même à la pause cigarette qui devait se réaliser en cinq minutes, montre Breitling en main sinon rien. Et bien l’élu n’est pas prêt de revêtir une autre costume que celui de tyran. En effet, des rumeurs très sérieuses, issues notamment de l’imaginaire débordant de Donald Trump qui n’en finit plus de confabuler sur sa victoire ; des rumeurs, dit-on, stipuleraient que l’ancien cador du PLR aurait exigé une compensation pour avoir été privé de son département. 

L’élu aurait mal digéré le fait d’être mis à pied par ses collègues et aurait pris la petite taquinade dont il a été l’objet comme une invitation « à faire dans le social », ce qui représenterait une activité couverte par les allocations pertes de gains selon la définition qu’en donne un ami réformé pour avoir retourné un char piranha. De plus, la séparation avec son département, vécue comme un traumatisme particulièrement fort pour notre bonhomme, lui donnerait droit à une réparation sonnante et trébuchante pour tort moral. 

À l’heure actuelle, le montant qui aurait été demandé n’est pas connu. En revanche, on aurait aperçu ses collègues en train de rire dans les couloirs de la Tour Baudet durant environ vingt longues minutes, soit quatre pauses clopes, en langage entrepreneurial. 

NDLR : Il exigerait également qu’on lui plie les billets en forme de Gripen.

La Rédaction. 

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