On n’y comprend plus rien, mais lui a l’air de savoir ce qu’il fait.
Il faut, en de rares occasions, accepter de lâcher prise et se laisser aller comme lorsque votre ex toxique vous quitte pour un.e amant.e bien plus séduisant.e que vous. Car ainsi va la vie, on ne contrôle pas l’ocytocine sécrété par son partenaire sexuel… Or, le cas présent exige que nous, humbles mortels, lâchions du lest vis-à-vis de la situation dans laquelle notre ami ex-PLR se fourre, tout seul, un peu plus tous les jours. Et même si l’étonnement d’observer jour après jour l’ascenseur de sa descente aux enfers franchir des paliers dont on ignorait l’existence, force est de constater que la détermination dont il fait preuve s’inscrit dans la lignée de celle des plus grands explorateurs, ceux même qui repoussèrent avec brio les limites du monde que nous connaissions jadis : les frontières de la vieille Europe.
Ainsi, des rumeurs dans l’ancien département du conseiller d’État démissionnaire font état d’une procédure judiciaire où celui-ci pourchasserait ses propres démons, accusé par lui-même de porter atteinte à l’honneur de son enveloppe corporelle. En effet, la loi stipule clairement que :
Celui qui, en s’adressant à Pierre Maudet, aura accusé Pierre Maudet ou jeté sur Pierre Maudet le soupçon de tenir une conduite contraire à l’honneur de Pierre Maudet, ou de tout autre fait propre à porter atteinte à sa considération, sera, sur plainte de Pierre Maudet, puni d’une peine de trois ans de travaux forcés au bagne de Toulon aux côtés d’Eugène-François Vidocq.
Si on en croit d’autres rumeurs qui circulent également au sein du DG-DERI, c’est pour arrêter de se tirer des balles dans le pied que celui-ci souhaiterait se condamner lui-même à une peine de travaux forcés sur les galères de Toulon. De conclure : « Je reviendrai plus fort et plus musclé ! ».
La Rédaction.
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