Une intuition désormais confirmée par la science.
Vous ne rêvez pas mesdames et messieurs, les chercheurs bossent le dimanche, et ceci pour votre plus grand bien. En effet, un groupe de biologistes aurait comparé le génotype des humains présents chez les Verts.e.s avec celui d’une sélection de plus de mille plantes dont certaines d’entre elles très rares comme l’amorphophallus ou la dracunculus – aussi appelé l’herbe des sorcières. Le résultat est sans appel : leur ADN serait à 99.9% similaire.
Vous nous demanderez alors : « Mais où réside la différence ? » Et bien mesdames et messieurs, c’est dans l’expression de ces gênes qu’elle se situe, c’est-à-dire dans le phénotype des élus politiques écologistes qui seraient, à force de récolter le soleil, parvenus à développer des attributs humains.
Ne vous méprenez pas néanmoins ! Car ces individus sont toujours des plantes vertes ; c’est d’ailleurs pour ça que la plupart du temps, ils se sustentent d’aliments végétariens. En somme, et ce n’est pas pour terminer l’article plus tôt que prévu parce que c’est dimanche et qu’on aimerait aller regarder l’octogone sans règles entre Maudet et Nidegger, mais les élus Vert.e.s. sont des plantes vertes. Du moins, c’est ce que laisse à penser la gentillesse béate qu’ils arborent très souvent sous leur carapace organique. Quant à savoir si la gentillesse est un avantage ou une tare en politique, il appartient à des individus plus compétents que notre stagiaire, votre serviteur, d’y répondre.
La Rédaction.