Les Portugais seraient en train de grand remplacer la population suisse pour y installer la dictature de l’huile de friture, du maillot de foot Cristiano Ronaldo et du bacalhau, selon l’UDC valaisan Damien Fumeaux. « Il n’a pas tort », redouble Maurice Bledard, notre Réac’teur en chef. Voici cinq preuves irréfutables que les Portugais fomentent, depuis leur immigration de masse dans les années septante, le projet de « grand remplacer » les Suisses, si ce n’est pas déjà le cas.
Les drapeaux portugais sur les mouettes : Partout que l’on virevolte en Suisse, les drapeaux suisses ont laissé place à ceux du Portugal. Cette transformation du paysage helvétique est largement perceptible au bord du plus grand lac d’Europe. En effet, depuis l’année dernière, la CGN (Compagnie Générale de Navigation sur le lac de Genève) a totalement modifié les drapeaux qui se situaient à la poupe de ses navires pour les remplacer par des pavillons du Portugal. L’avantage c’est que, désormais, le service à bord propose de succulentes pastéis de natas.
« La Diligence », à Fully : Tiens donc, les pastéis de natas, parlons-en… On en trouve dans la boulangerie-pâtisserie-tea-room-lupanar-maison-close, « La Diligence », à Fully. Un exotisme qui trahit évidemment l’origine du propriétaire de l’établissement et le lent mais néanmoins certain remplacement des Valaisans par les Lusitaniens. Or, quand on sait que les Valaisans s’exportent un peu partout, il ne fait aucun doute que les Portugais grand remplaceront dans la Suisse entière !
L’abondance d’ailiers droits dans les clubs de foot locaux : Cela aura échappé aux footix, mais la plupart des joueurs des clubs de district suisses aspirent à porter le numéro 7 et à jouer au poste d’ailier droit. Une préférence qui trahit évidemment leur amour pour le Mancunien Cristiano Ronaldo ainsi que leurs origines et qui, hélas, a progressivement conduit à la désertion du poste de défenseur central. On comprend mieux maintenant l’incapacité des formations Suisses à se défendre.
L’odeur d’huile de friture dans les églises : En Suisse, les églises n’ont jamais été aussi fréquentées. Pourtant, les Suisses eux-mêmes affirment ne plus y avoir mis les pieds depuis deux décennies. On devine à l’odeur de friture que, là aussi, les Portugais ont investi les lieux. D’ailleurs, les prêtres reprennent de plus en plus souvent les fidèles sur le prénom « Jésus » qu’il faudrait désormais prononcer « Rézousse ».
David Lemos : C’est sa taqîya à lui, pour nous imposer le port obligatoire du maillot de Cristiano Ronaldo : David Lemos est le premier secondo à devenir le commentateur attitré des matchs de l’équipe de Suisse ; une conquête personnelle néanmoins bénéfique pour la Suisse puisque d’aucuns affirment qu’il aurait expliqué lui-même à Mario Gavranovic comment planter le 3 à 1 contre l’équipe de France lors du dernier Euro, cela juste après avoir reçu un coup de fil de Éder invitant les Suisses à tout miser sur la chance au nom du principe selon lequel « sur un malentendu, ça peut marcher ».
Vous n’êtes toujours pas convaincus ? Alors écrivez directement à Damien Fumeaux pour lui demander d’expliquer ses allégations lors des discussions de la Constituante valaisanne.
Damien.FUMEAUX@parl.vs.ch
Contrairement à ce dernier lors de son discours, nous vous prions cependant de faire preuve de la nécessaire convenance qui sied à l’écriture d’un mail adressé à un député de l’État du Valais quand bien même il aurait été bercé trop près du mur durant son enfance.
La Rédaction.
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