Genève

Champ-Dollon – Des détenus en grève de la faim « tant qu’il n’y aura pas de salade quinoa-tofu à la cantine »

Le Grand Champ-Dollon Hostel fait à nouveau parler de lui. Des détenus y dénoncent des conditions de vie déplorables à faire frémir Nelson Mandela dans sa cellule de Robben Island.

Leur histoire commence avec une déclaration de leur avocat, lequel dénonce : “ce n’est pas parce qu’on est en Suisse que les droits de l’Homme ne peuvent pas être bafoués. La situation de mes clients le démontre très clairement!”.

Menu couscous-merguez
Mardi dernier, un groupe de détenus avait catégoriquement refusé de manger le plat du jour couscous-merguez proposé par la cantine de l’établissement hôtelier pénitentiaire de Champ-Dollon, à Genève. Le refus avait alors provoqué une rixe entre férus de viande recomposée et militants véganes. Ce derniers avaient alors adressé une lettre de menace à la direction pour lui demander un régime particulier, mais celle-ci avait botté en touche, prétextant qu’elle avait déjà assez à faire avec les menus halal. Fâchés, les détenus avaient contacté la presse et saisi la justice.

Rapidement déboutés néanmoins, leur avocat véreux fait aujourd’hui recours pour sauver ses jambes des coups de battes que les détenus lui ont promis s’il ne réussit pas à intégrer des plats véganes aux menus de la cantine.

Les détenus véganes, un fléau en augmentation dans les prisons
Pour l’heure, la prison de Champ-Dollon ne compte qu’un petit groupe de détenus véganes, lesquels prétextent ne plus vouloir manger de viande parce que l’idée d’avaler un poussin mort les rendraient aussi pâle que le visage blafard de Guy Parmelin déguisé en geisha le soir d’Halloween.
Toutefois, avec la recrudescence de criminels crypto-gauchistes qui s’amusent à lapider des boucheries, jouer au tennis dans les Crédit Suisse et défier Mauro Poggia en grillant des feux rouges, une augmentation du nombre de détenus véganes est attendue.

En effet, qui dit détenus islamo-marxistes dit également des habitudes alimentaires douteuses. Avec eux, fini le cochon étranglé en direction de Clermont-Ferrand pour obtenir une meilleure couenne. Fini l’alimentation religieuse en général. Bonjour cependant aux açaï bowl et autres salades quinoa-lentilles sans goût.

Le chef Michel s’exprime
Michel, le cuistot’ de la cantine nous fait part de son inquiétude à ce sujet : « vous voyez, pour moi et mon équipe, cela redistribue toutes les cartes. Nous étions rompus à cracher dans les plats halal ! Maintenant, il va falloir qu’on boive plus d’eau pour aussi alimenter les plats véganes ! ». Alimentation et tolérance, ça va pas ensemble.

La Rédaction.

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