Culture

Claude-Inga Barbey promet de revenir « plus forte » avec un sketch sur les handicapés

Claude-Inga Barbey préparerait en secret un sketch inédit sur les handicapés dans lequel elle proposerait notamment l’imitation d’une personne trisomique. Objectif : braver la cancel culture.  

Violemment « cancel » à deux reprises par des groupuscules wokistes minoritaires hantant néanmoins majoritairement les pensées des éditorialistes de la Tribune de Genève et du Temps, Claude-Inga Barbey a décidé de ne pas céder à la pression insoutenable de tous ces rageux·ses qui s’en prennent à son humour décapant, lequel aurait sans doute éclipsé Pierre Desproges ou Coluche, exerçassent-ils à la même époque – ndlr: selon certaines sources pas si proches du dossier, Coluche a lui-même été effacé dans un accident de moto totalement accidentel.

Ainsi, la comédienne et humoriste a-t-elle promis de revenir plus forte avec un sketch révolutionnaire sur les handicapés qui, eux, est-il seulement utile de le rappeler, font partie d’une classe privilégiée de la population puisqu’ils sont les derniers citoyens encore capables de trouver une place de parking libre dans une Ville de Genève décadente abandonnée aux délires piétons de sa Maire, Frédérique Perler. 

En outre, est-il également besoin de rappeler que même les architectes ont cédé, n’ayons crainte de prendre notre courage à deux moignons et de l’affirmer franchement, au diktat des handicapés, lesquels – sauf lorsqu’ils sont paraplégiques – se font menaçant à l’encontre du moindre dessinateur en bâtiment, de presse parfois, qui oserait planifier un immeuble sans rampe d’accès ou sans ascenseur ! 

Interrogée dans une conférence de presse spécialement destinée aux personnes victimes de la cancel culture, Claude-Inga Barbey estime avoir appris de ses erreurs, qui n’en étaient en réalité pas vraiment, mais dont elle a tout de même su tirer leçon, enfin selon elle, enfin peut-être. De promettre : « Je ne caricaturerai plus que des handicapés masculins blancs ! » La Jeanne d’Arc de l’humour romand d’ajouter : « Cette fois, il n’y aura vraiment pas de quoi fouetter un chat ! »

Dans la foulée, deux associations antispécistes lançaient une pétition dénonçant la violence faite au chat molesté par CIB. Une manifestation est d’ores et déjà prévue jeudi.

La Rédaction. 

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