La police suisse jugée « pas assez violente » pour participer à la sécurisation des Jeux olympiques de Paris

Les forces de l’ordre du monde entier sont désormais réunies à Paris pour participer à la sécurisation des Jeux olympiques. Enfin presque… Car celles de Suisse n’ont pas été conviées à la fête, faute d’un niveau suffisant de violence à l’égard des manifestants. 

Ça y est. Toutes les polices ont établi leur camp de base à Paris. Sauf les forces de sécurité de la Confédération bien entendu, car jugées « trop sympathiques » pour mater les grévistes et les douze terroristes au mètre carré qui fouleront les pavés parisiens d’ici la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, la semaine prochaine. « Il vous faudrait être un peu plus violent lors de vos manifestations : éborgner quelques gauchistes ou, à tout le moins frapper celles et ceux qui défendent la cause palestinienne », avait en effet communiqué le désormais ancien ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, Gérald Darmanin, aux policiers suisses qui s’étaient étonnés de n’avoir pas été convoqués à la fête parisienne. « Ici c’est la cour des grands », avait par ailleurs souligné ce dernier en proposant aux forces de l’ordre helvétiques de « revenir dans quelques années », à savoir quand les graines du gauchisme auraient germé au sein de leur propre État et qu’elles auraient, par conséquent, appris à « combattre le fléau du wokisme comme des hommes. » Voilà en tout cas qui a le mérite d’être clair…

La Rédaction.