Islamo-gauchisme

La Suisse ne compte pas assez de gens de gauche pour que tous les professeurs d’université le soient

Selon une étude, le nombre de Suisses réellement de gauche serait insuffisant pour que les 4’669 professeurs que compte le pays le soient tous à la fois. Cela étant, il ne serait pas nécessaire de « débarrasser les universités de ces professeurs de gauche ».

D’après la récente déclaration de l’UDC argovien et membre du conseil national Andreas Glarner dans les colonnes d’un « merdia » au sein duquel il apparaît cependant cinq à six fois par semaine pour y déverser sa logorrhée, la plupart des professeurs d’université sinon toustes (sic.) seraient de gauche.

Cette élucubration vient cependant d’être balayée par une équipe de chercheur de l’Université de Petaouchnokssibirsk, en Sibérie occidentale. Après des calculs très savants et rigoureux, ces derniers ont en effet estimé que le nombre de « vrais gens de gauche » en Suisse serait très largement inférieur au nombre de postes de professeur·e d’université que compte le pays. « Il y en a, en tout, 4’669 contre environ 2000 personnes qui épousent réellement les idéaux de la gauche », peut-on ainsi lire dans le rapport.

Non content d’infirmer les propos de d’Andreas Glarner, le rapport précise également ce que signifie « être de gauche ». En aucun cas, par exemple, s’agit-il d’occuper une position de pouvoir sans jamais l’utiliser pour tenter de sortir quelques biens, fussent-ils immobiliers ou de santé, du marché. En aucun cas s’agit-il également de vouloir seulement un peu tordre – au profit de la collectivité – le mode de production des biens et services dans lequel les êtres humains évoluent actuellement. « Voilà pourquoi à peu près personne dans ce pays n’est réellement de gauche et ne le sera jamais : on y épouse bien trop les boniments et les fables libérales », conclut le rapport. 

La Rédaction. 

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