Monde

Le Qatar a espionné Cassis avant de se rendre compte que sa vie était naze et d’arrêter

Ouf ! L’incident diplomatique a été évité de peu ! 

Puisqu’il faut parler Coupe du monde, parlons scandale. Et plus précisément de celui qui a été complètement passé sous silence, au début du mois de novembre dernier, alors que le monde entier apprenait impuissant que le Qatar avait espionné notre grand, fort, vaillant, vigoureux et séduisant président de la Confédération : Ignazio Cassis. 

Les faits remontent à mai 2022. Plus précisément en marge d’une réunion de notre chef d’État avec l’ancien premier ministre britannique Boris Johnson. Tous deux se retrouvent autour d’une Guinness pour discuter calvitie, lotion capillaire et voyage all inclusive en Turquie. « Ça a l’air d’avoir bien marché tes implants ! », déclame Ignazio Cassis, lequel, à 61 ans, a récemment constaté l’apparition de deux golfes sur le sommet de son crâne. « Yeah I did it at twelve ! Now I have a fucking nest on the top of the head ! Great ! Great idea !», lui répond alors, non sans une certaine ironie, le prédécesseur de Liz Truss. Qui ? Mais oui, vous savez, celle qui touche désormais 130’000 CHF par an pour avoir été Première ministre durant 44 jours. Quand soudain, les deux entendent le grésillement caractéristique d’un micro… « Tu m’espionnes ma parole ! », s’écrie alors Ignazio. « Qu’est-ce que tu veux que j’espionne !? », rétorque le conservateur là aussi non sans une certaine malice. 

Entre les deux hommes, la suspicion a maintenant succédé à la convivialité qui régnait auparavant cependant que, quelques instants plus tard, le détecteur de métal rapporté par Ignazio Cassis du coffre de sa 206 Coupé révèle bel et bien la présence d’un micro dissimulé sous la table… S’ensuit une bagarre durant laquelle Ignazio perd la moitié de ses dents, se fêle une côte mais arrache néanmoins l’oreille de l’ancien Maire de Londres. Se pointe alors un cheikh qui règle quelque bakchich au bar à l’aide d’un chèque avant de prononcer le mot « cheh » lorsqu’il aperçoit le visage ensanglanté d’Ignazio Cassis. L’homme porte une thobe. C’est d’ailleurs à ça que Boris et Ignazio supputent sa nationalité qatarienne. Et tandis que le type se couche sous la table pour y relever le micro qui vient d’enregistrer la conversation de salon de coiffure entre les deux politiciens, Cassis s’étonne : « Mais pourquoi diable est-ce que vous m’avez espionné !? ». Ce à quoi l’homme répond nonchalamment : « Franchement, je l’ignore. »

La Rédaction.

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