Cyclo-terrorisme

Le Tour de France a refusé de passer par Genève, « à cause de l’incertitude sur l’état des routes »

Le wokisme et les coups de marteau-piqueur auront eu raison du passage du Tour de France par la Cité de Calvin. Une mauvaise nouvelle pour la Genève Internationale. 

Genève aurait dû accueillir au moins deux étapes du Tour de France. C’est ce qu’a récemment appris la Biturne grâce à ses contacts au sein du Comité d’organisation de la course cycliste – ce dernier nous filant les stéroïdes inutilisés durant les étapes, pour nos stagiaires. Sauf que, face à l’incertitude provoquée par les récentes déprédations du bitume aux Pâquis, la Ville de Lausanne a été jugée plus fiable et donc préférée à la Cité de Calvin. 

« Oui, Lausanne est une ‘’ville’’, si tant est qu’on ose l’appeler comme ça et non pas un ‘’village de pécheurs’’, franchement naze. Mais chez vous c’était beaucoup trop dangereux pour les cyclistes ! », confie un organisateur du Tour. « Vous imaginez, vous, Pogačar se faire un nid de poule après 230 kilomètres de course et perdre lamentablement face à des adversaires moins bien dopés que lui !? C’est tout simplement inconcevable ! », ajoute ce dernier.

« C’est un jour noir pour la Genève Internationale », a commenté, pour sa part, un certain Chris Lüsch sur son profil Facebook. « Car les cyclistes du Tour qui passent par le centre-ville, c’est une publicité mondiale pour nos banques ! Or, une bonne publicité pour nos banques, c’est de nouvelles opportunités d’optimisations fiscales ! », a également déclamé ce dernier. 

Bien qu’ayant promis de faire « tout son possible » pour empêcher ses amis cyclo-islamo-terroristes d’éventrer la chaussée, les atermoiements de la conseillère administrative Verte, Frédérique Perler, n’auront pas été jugés suffisamment crédibles par les organisateurs du Tour pour que ceux-ci décident malgré tout d’accorder les deux étapes prévues en Suisse à la Ville de Genève. « Notre venue est aussi l’affaire de vin. Enfin de pots de vin ! », affirmaient les organisateurs du Tour lors de notre entretien. « Or, le vin genevois… Vous voyez ce que je veux dire… », concluaient ces derniers.

La Rédaction. 

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