Las d’entendre les usagers se plaindre des types qui « font ch%&r le monde » en emportant leur trottinette électrique « de m%&de » à l’étage des Interregio, les CFF agissent : à compter du 1e janvier 2024, des amendes seront dressées pour toutes celles et ceux qui s’adonnent à cette pratique. Les récidivistes seront quant à eux boutés hors du train à grand renfort de coups de pied au derrière.
C’est une nouvelle décision forte qu’entérinent aujourd’hui les chemins de fers fédéraux (CFF). Après avoir reçu pas moins d’une centaine de milliers de plaintes s’agissant des « en%&lés qui montent leur trottinette électrique à l’étage des Interregio » ou encore des « petite m%&des égoïstes qui prennent toute la place avec leur trottinette de fils de p%li&er », pour ne citer que deux exemples du florilège d’insultes adressées aux détenteurs de trottinettes électriques qui emportent ces dernières au second étage des trains interrégionaux, les CFF ont annoncé hier soir que les contrôleurs pourront verbaliser les usagers qui s’adonnent à ce genre de comportements, à compter du 1e janvier 2024. « Il y a des gens qui, dans ce bas monde, croient qu’ils sont seuls et qu’ils sont, cela étant, exempts d’appliquer les règles de bases de la vie en société », souligne le porte-parole de la régie fédérale des transports ferroviaires. « Les deux à trois cents francs que nous allons à l’avenir leur commander de payer s’ils emportent leur trottinette électrique à l’étage de nos trains les rappelleront à la réalité », ajoute ce dernier.
Mais ce n’est pas tout. Pris sur le fait d’une récidive, le contrevenant pourra le cas échéant être bouté hors du train « à grand renfort coup de pied dans le derrière », précisent les CFF. « Et cela même si le train est en route, à 150km/h, dans un désert jurassien », fait remarquer la régie fédérale. Ce faisant, cette dernière espère ainsi rapidement « inciter les c%&nards avec leur trot’ de m%&de » – lesquels sont, selon elle, non seulement un fléau pour ses usagers mais également pour le monde entier – à remiser définitivement leur engin. « Il ne pourront qu’y gagner en street-crédibilité », confie du reste son porte-parole. « Peut-être même qu’ils perdront enfin leur pucelage… Non, parce qu’on ne va pas se mentir, mais quiconque se promène en trottinette électrique perd instantanément tout son charme », confesse ce dernier.
La Rédaction.
