Las d’être confondus avec des gardiens de la paix, les policiers porteront désormais des symboles d’extrême-droite plus visibles.
Exit les « thine blue line » ou les tatouages « 88 » dissimulés sous des longues manches ou un brassard orange. Las d’être confondus avec des gardiens de la paix, les policiers Romands ne s’interdiront désormais plus d’arborer ostensiblement des signes d’appartenance à leur camp politique de prédilection. Cette décision intervient après une énième dénonciation du site d’islamo-woko-quinoao-gauchistes Renversé, lequel titrait récemment en majuscules, afin de signifier à quel point c’est grave, « PROCÈS DES MEURTRIERS DE MIKE BEN PETER : UN POLICIER ARBORE UN SYMBOLE RACISTE À L’ENTRÉE DE LA SALLE D’AUDIENCE ». Elle vise notamment à permettre aux citoyens encore confus à établir clairement l’obédience des forces de l’ordre et, le cas échéant, à leur éviter des ennuis en recourant à leur service. « De nombreuses personnes pensent qu’on défend la veuve et l’orphelin. Erreur ! Nous défendons certaines veuves et certains orphelins, mais de loin pas tous ! », précise à cet égard le porte-parole de la maréchaussée vaudoise. Et de conclure : « Il faut que les gens sachent qu’on n’est pas ‘’les forces de l’ordre’’, mais ‘’d’un ordre’’, celui que nous nous souhaitons voir durer. » C’est noté.
La Rédaction.
