Islamo-gauchisme

L’Université de Genève fera désormais appel à des CRS pour déloger les occupants

Jugeant la police cantonale « pas assez violente » pour faire comprendre aux occupants que le hall d’Uni Mail n’est pas un camping, l’Université de Genève a décidé de faire appel à des CRS.

L’Université de Genève prend des mesures pour que son établissement demeure un lieu de débat neutre et apolitique où toutes et tous se sentent libre de circuler et en sécurité peu importe leurs opinions. À compter du mois prochain, toutes celles et ceux qui tenteront d’occuper l’un de ses bâtiments se verront en effet délogés manu militari non pas par la police cantonale – qui a d’autre chose à ne rien faire – mais par des compagnies républicaines de sécurité (CRS), lesquelles viennent de passer un accord avec l’alma mater, avalisé par la République bananière et canton de Genève, pour assurer la préservation de certains lieux qualifiés de sensibles par le département des institutions et du numérique (DIN).

Désormais, toutes les occupations visant à stopper immédiatement un génocide ou un massacre perpétré par, au hasard, par un premier ministre sous le coup d’un mandat d’arrêt international l’accusant de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité seront donc sévèrement réprimées. « On n’a pas été assez violent la première fois, c’est pour ça qu’ils ont recommencé à occuper l’Université mardi dernier », justifie la rectrice de l’Unige, Audrey Leuba. « Ici [au sein de l’Université de Genève], toutes les opinions se valent pour autant que chacun les garde pour soi ou que, si l’envie lui prenait de les exprimer, il nous en fasse auparavant part afin que nous lui donnions le feu vert pour réserver une salle et les dire », précise cette dernière qui réitère également son soutien plein et entier à toutes les formes de Liberté pour autant qu’elles s’expriment d’ici une dizaine d’année, quand elle aura passé la main.

Cette nouvelle mesure suffira-t-elle à décourager les pacifistes et autres gôchistes bobologues bienpensants qui se rendent tous les jours aux urgences sans jamais payer leurs primes-maladie – source : Lionel Dugerdil ? « Pas sûr ! », explique un spécialiste. « Ces derniers·ères n’ont en effet rien à perdre que leurs chaînes », précise ce dernier. En effet, compte tenu des tarifs des assurances dentaires et de la quantité de roulées qu’ils fument, ils n’ont déjà plus de dents depuis bien longtemps.

La Rédaction.

Crédit photo : “File:Police Paris CRS vehicule dsc06481.jpg” by David Monniaux is licensed under CC BY-SA 3.0.

Leave a Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*