(N’)en déplaise aux nombreux Genevois qui roulent en bagnole pot-troué-jantes-rabaissées-bas-de-caisse-de-ouf, le lobby lgbtcyclisme a encore gagné. Cette fois-ci, avec la complicité du Conseil d’Etat, lequel cautionne et dit amen à toutes les idées saugrenues des militant.e.s cyclistes.
Hier encore, alors qu’il était possible de frimer tranquillement sur un deux roue bruyant ou au travers de la vitre fumée de sa Porsche Cayenne, la vie avait du sens. Les femmes enviaient cette stabilité financière à laquelle elles n’auraient jamais pu prétendre ; les étrangers enviaient notre style de vie qu’ils n’avaient pas encore volé pour se pavaner derrière le volant de leur BMW achetée à crédit foncier accordé par un frontalier travaillant dans la succursale genevoise du Crédit Agricole ! Hier encore, nous avions vingt ans et caressions le temps béni où le lobby lgbtcyclisme n’avait pas la mainmise sur le cerveau éthéré de nos conseillers d’Etat, lui-même contrôlé par Bill Gates – explique Juliette Binoche.
Cette période – aussi faste que les Trente Glorieuses; aussi néfaste que le déconfinement des parisiens – est aujourd’hui révolue… Ainsi, nous sommes en droit de nous poser la question suivante: mais que fait la police tandis que de braves Genevois dorment sur leurs deux oreilles atteintes d’une surdité partielle, pour reprendre des forces avant de rejoindre leurs bullshit jobs ? Que fait-elle tandis qu’une horde de militante.e.s lgbtcyclistes s’affaire à détourner les lignes de circulation pour les remplacer par des bandes cyclables ? Car c’est bien ça ! Cette mascarade n’est que le résultat d’une manipulation générale du Conseil d’Etat par Bill Gates et un groupuscule cyclo-nazi doté de pouvoirs de persuasion hors du commun !
Face à cette situation, la police reste coi comme Pierre Maudet à la vue d’une fiche d’imposition. Elle fuit ses responsabilités, ne voit rien, fait la sourde oreille. Autrement dit, elle continue de patrouiller aux alentours de l’Usine pour y harceler les dealers comme les assureurs harcèlent les honnêtes gens à la fin de l’année.
Or, l’inaction – au contraire du racisme – est coupable ! C’est ainsi que sont conçus des immondices aussi criardes que les nouvelles pistes cyclables du centre-ville ou que cet article de journal. Pour en revenir aux pistes, celles-ci ne sont même pas estampillées LVMH et encore moins chauffantes, ce qui les rend d’autant plus impraticables pour nos valeureux 4×4.
La rédaction.
