Pressenti pour devenir le prochain ministre des Outre-mer, le Dieu vivant de la cité de Calvin a fait preuve de générosité en voulant bien céder sa place à son vieil ami Manuel.
Ça y est, la composition du gouvernement Bayrou en enfin connue. Et pour la plus grande surprise de tout un peuple – celui de la République bananière et canton de Genève –, Pierre Maudet n’y figure pas. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir été sollicité par le président de la République lui-même qui, à en croire nos micros dissimulés dans le palais de l’Élysée, lui aurait promis mont et merveilles, mais surtout beaucoup de merveilles car Pierre Maudet adore ces succulents beignets sucrés. Rien n’y a cependant fait. Même un salaire mirobolant approchant le double de celui qu’il touche actuellement en tant que conseiller d’État – sans compter les avantages perçus de façon plus discrète que la dernière fois. La faute au pouvoir de l’amitié. Plus précisément celle que PM entretient depuis des lustres avec l’ancien Premier ministre de François Hollande. « C’était lui ou moi et j’ai préféré lui céder ma place », explique ainsi le Dieu vivant du canton de Genève. « Le pauvre, cela faisait un moment qu’il n’avait pas travaillé. Si je lui étais passé devant, il ne m’aurait pas pardonné ! », ajoute également ce dernier.
À compter de ce jour, Manuel Valls est donc ministre des Outre-mer. Une fonction « de premier plan ! », écrit ce dernier sur X. « Car il n’y a pas que des hommes à exploiter dans nos colonies, mais également des ressources ! », poursuit l’ancien conseiller municipal de Barcelone. Et d’ajouter, concernant les récents évènements de Mayotte : « En tout cas, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour rebâtir au plus vite vos bidonvilles ! » Ce grand pays civilisé qu’est la France n’abandonne personne. Et il faut bien avouer que les tôles servant d’abris aux Mahorais seraient de bien moindre qualité si l’île était dominée par un pays du Tiers-Monde, comme les États-Unis ou l’Angleterre.
La Rédaction.